Premier séminaire Liferay Roadshow à Montréal

Vidéo – le 2 mai 2012, Liferay et Savoir-faire Linux présentaient le tout premier Liferay Roadshow à Montréal.

Liferay RoadShowLe 2 mai dernier, Liferay et Savoir-faire Linux présentaient le tout premier Liferay Roadshow à Montréal. Une cinquantaine de personnes étaient présentes au CRIM pour découvrir les nouvelles fonctionnalités du portail Liferay 6.1. Nous avons enregistré la première présentation au cours de laquelle Michael Wong, représentant de Liferay, fait le tour d’horizon des nouvelles fonctionnalités de cette nouvelle version et se livre à une démonstration de l’interface d’administration.

Durée: 1h. Langue: Anglais. Licence: Creative Commons BY

À propos de Liferay

Liferay est définitivement le portail open source le plus utilisé par les grandes entreprises et gouvernements partout dans le monde. Il offre une porte d’entrée unique qui rassemble l’ensemble des ressources et services informationnels d’une organisation et les rend accessibles via un espace de travail personnalisé selon le ou les rôles assignés à chaque utilisateur. Liferay intègre également à sa solution un puissant système de gestion de contenu (CMS).

Identifié comme leader dans le quadrant magique Gartner auprès de Oracle, IBM et Microsoft, le portail Liferay se différencie par sa modernité. Comme l’affirme Gartner, Liferay rompt avec « le ballonnement fonctionnel et la complexité technique » des portails traditionnels et « apporte un accès plus rapide à la valeur ajoutée, et ce, sans violer les normes des logiciels l’entourant. »

La version 6.1 de Liferay amène de belles nouveautés et améliorations notamment au niveau de l’interface de gestion, du processus de préproduction ou de mise en ligne, de la gestion des documents, des listes dynamiques et du potentiel de personnalisation.

À propos de Savoir-faire Linux

Savoir-faire Linux fait partie des cinq lauréats 2011 du prix Liferay Community Excellence Award décerné aux acteurs mondiaux ayant le plus contribué à Liferay. Savoir-faire Linux est un partenaire officiel de Liferay.

Savoir-faire Linux fournit des services de consultation, d’intégration, de développement, de soutien technique et de formation sur les logiciels libres. En affaires depuis 1999, l’entreprise compte maintenant près de 50 consultants disponibles à Montréal, à Québec et à Ottawa.

Confoo Report : le reportage collaboratif 2.0

Voici les archives complètes du Confoo Report, un reportage réalisé, la semaine dernière, à la conférence Confoo sur les technologies Web grâce à une co-production éditoriale et financière avec Mathieu Chartier et Marc-André-Lanciault (voir plus bas), monté et encodé en léger différé sur Ustream.

GENERIQUEVoici les archives complètes du Confoo Report, un reportage réalisé, la semaine dernière, à la conférence Confoo sur les technologies Web grâce à une co-production éditoriale et financière avec Mathieu Chartier et Marc-André-Lanciault (voir plus bas), monté et encodé en léger différé sur Ustream. Je reviendrai bientôt sur ce sujet, mais place aux entrevues :

À propos du Confoo Report À propos du « Confoo Report »

FR

Voici la dernière vidéo du « Confoo Report 2010 », un reportage réalisé grâce à une collaboration technique, éditoriale et financière entre la conférence Confoo, Marc-André Lanciault (INBOX International), Mathieu Chartier (KINDOWEB.COM) et Christian Aubry.

Mathieu Chartier (KindoWeb.com) Mathieu Chartier (KindoWeb.com)

FR

Un portrait de Mathieu Chartier et de son entreprise, Kindo Communication, basée à Montréal et dans les Cantons de l’Est. Mathieu est vice-président du W3Québec depuis 2 ans, spécialiste des standards du W3C, co-organisateur de la conférence, initiateur et co-producteur du Confoo Report.

Marc-André Lanciault (INBOX International) Marc-André Lanciault (INBOX International)

FR

Marc-André Lanciault était à Confoo pour donner une conférence, participer à une table ronde et co-produire cette série d’entrevues. Ouf! Rien d’anormal pour ce chef d’entreprise prolifique, lead developer du gestionnaire de contenu ImpressCMS, dont les experts sont répartis dans le monde entier.

ElePHPhant ElePHPhant

FR

Une entrevue exclusive avec la mascotte de PHP, ÉlePHPhant, réalisée avec la complicité du ventriloque PHP Damien Séguy.

Rasmus Lerdorf (PHP) Rasmus Lerdorf (PHP)

EN

Rasmus Lerdorf, the founder of the PHP project, was at Confoo to give a talk on PHP performance — an issue that lately spurred by Facebook’s HipHop PHP announcement in February.

Make Web Not War (Microsoft) Make Web Not War (Microsoft)

EN

Marc-André Lanciault meets with Arun Kirupananthan (Microsoft) and Yann Larrivée (PHP Québec) around open source development for Windows IIS Services. Microsoft promotes this trend this season with both the Make Web Not War conference and For The Web coding competition (FTW, not to be confused with WTF;).

Matyas Gabor (w.illi.am) Matyas Gabor (w.illi.am)

FR

Matyas Gabor explique la présence de w.illi.am à la conférence et l’importance croissante que prend le conseil en technologie dans les activités de cette entreprise intégrée.

Vive PYTHOOOOOON !!! Vive PYTHOOOOOON !!!

FR

Un sketch d’humour geek d’Alexandre Bourget et Tarek Ziadé, deux adorateurs du Python. À les entendre, on pourrait croire qu’ils détestent tous les autres animaux de la création informatique, à commencer par le pauvre ÉléPHPhant 😉

Francis Bégin (PHP Québec) Francis Bégin (PHP Québec)

FR

Francis Bégin, responsable des communications de Confoo 2010, nous parle du beau défi que représentait la réunion une large variété de communautés technologiques qui ne se parle pas très souvent.

Philippe Gamache (Confoo) Philippe Gamache (Confoo)

FR

Philippe Gamache, co-organisateur de la conférence Confoo 2010, nous parle de la piste sur la sécurité des applications Web dont il a assuré la programmation et des tendances actuelles dans ce domaine.

Adrian Dafinei (AQIII) Adrian Dafinei (AQIII)

FR

Adrian Dafinei, vice-président de l’Association québécoise des informaticiennes et informaticiens indépendants (AQIII), explique la présence de son organisme au Salon de l’emploi de la conférence.

Elie Sloïm (Temesis) Elie Sloïm (Temesis)

FR

Elie Sloïm a fait le voyage de Bordeaux à Montréal pour parler de contrôle de la qualité Web à Confoo 2010. Ce nouveau paradigme technologique couvre autant les aspects techniques que les aspects humains.

Sherif Zaroubi (w.illi.am) Sherif Zaroubi (w.illi.am)

EN

Sherif Zaroubi is an IT Consultant at w.illi.am. Speaking about « Optimization of web applications: a theoretical approach » at Confoo 2010, he met with Marc-André Lanciault to summarize the issue.

Brendan Sera-Shriar (Optimal Payments) Brendan Sera-Shriar (Optimal Payments)

EN

Marc-André Lanciault talks with Brendan Sera-Shriar aka digibomb from Optimal Payments about his presentation focused on WordPress theme development – and more.

Yannick Gingras (Python Montréal) Yannick Gingras (Python Montréal)

FR

Yannick Gingras était l’organisateur principal du groupe Montréal Python à Confoo 2010. Il discute avec Marc-André Lanciault du langage de programmation Python qu’il a découvert… grâce aux délais de livraison hasardeux d’Amazon.com 😉

Mathieu Viau (PHP Québec) Mathieu Viau (PHP Québec)

FR

Mathieu Viau, développeur Web, membre de PHP Québec et co-organisateur de Confoo 2010, nous donne son point de vue sur l’organisation de la conférence.

Sheeri Cabral (Pythian) Sheeri Cabral (Pythian)

EN

Sheeri Cabral (DBA and Team Lead at Pythian) explains to Marc-André Lanciault what she means by « Bending queries to your will with EXPLAIN » — the title of her conference at Confoo.

WordPress vu par ÉquiSoft WordPress vu par ÉquiSoft

FR

Une conversation improvisée entre Sylvain Carle (Praized), Éric Maltais et Carl Alexander (ÉquiSoft) à propos de WordPress comme environnement industriel de développement.

Yann Larrivée (PHP Québec) Yann Larrivée (PHP Québec)

FR

Rencontre avec Yann Larrivée autour d’une bière virtuelle pour discuter de PHP Québec, l’association professionnelle des utilisateurs de PHP au Québec, de l’évolution de sa communauté et de ses activités, dont la conférence Confoo est un peu l’apothéose.

À propos d'Android À propos d’Android

FR

Alexandre Bourget (Savoir-Faire Linux) et Yannick Brosseau discutent avec Christian Aubry de la plateforme Internet mobile Android.

Nicolas Roberge (Ovologic) Nicolas Roberge (Ovologic)

FR

Conversation informelle avec Nicolas Roberge, intégrateur Web de Québec, qui s’est notamment intéressé à la piste du W3Québec sur les standards du Web. On parle aussi de la communauté de développement de la Capitale nationale et du Webcamp Québec du 19 mai prochain.

Joey Devilla & Arun Kirupananthan (Microsoft) Joey Devilla & Arun Kirupananthan (Microsoft)

EN

Marc-André Lanciault talked on a panel along with two Microsoft executives — Joey Devilla and Arun Kirupananthan — who stated that open source is (quote) « an opportunity » for their company. Microsoft, BTW, was a Gold sponsor at the conference.

Asher Snyder (NOLOH) Asher Snyder (NOLOH)

EN

Asher Snyder is the driving personality behind The NOLOH PHP Framework — NOLOH stands for Not One Line of HTML. Interview.

Julian Egelstaff (Freeform Solutions) Julian Egelstaff (Freeform Solutions)

EN

Lead programmer of Freeform Solutions’s open source project Formulize, Julian Egelstaff presented a case study in integrating two CMS — namely Drupal and XOOPS — in order to get the best of both worlds.

Damien Seguy (Alter Way Consulting) Damien Seguy (Alter Way Consulting)

FR

Marc-André Lanciault rencontre Damien Seguy, leader des services d’expertise Alter Way Consulting, qui donnait à Confoo une présentation sur l’industrialisation des projets de développement PHP.

François Viens (W3Québec) François Viens (W3Québec)

FR

François Viens, président de l’entreprise QuiboWeb, explique pourquoi il s’est impliqué sur le CA de W3Québec (association de promotion des standards ouverts et bonnes pratiques du Web), comment celle-ci évolue et pourquoi elle était présente à Confoo.

Ruby on Rail Ruby on Rails

EN

Sylvain Carle (Praized), who designed the Ruby on Rails conference track at Confoo.ca, recaps all the good stuff with Gary Haran, Marc-André Cournoyer (both from Sauté Applications) and Matt Aimonetti (Sony America).

Yannick Pavard (InfoGlobe) Yannick Pavard (InfoGlobe)

FR

Marc-André Lanciault discute avec Yannick Pavard (InfoGlobe) du gestionnaire de contenus Typo3, très populaire au sein du gouvernement québécois qu’il présentait à Confoo.

Gary Haran et Laurent Villeneuve (JS-Montreal.org) Gary Haran et Laurent Villeneuve (JS-Montreal.org)

FR

Gary Haran (Sauté Applications) et Laurent Villeneuve (Silanis Technology) présentent le nouveau groupe d’utilisateurs Javascript de Montréal, JS-Montreal.org, grâce auquel ce langage omniprésent sur le Web sera peut-être mieux représenté à la prochaine conférence Confoo 😉

Patrice Caron (Vision SAO) Patrice Caron (Vision SAO)

FR

Patrice Caron, intégrateur libre (sic) et fondateur de Vision AOS Technologies, qui présentait une double conférence sur l’architecture orientée service (SAO) dans la session Java. Il explique ici sa vision d’une SAO «ouverte», c’est à dire non dépendante de technologies propriétaires.

Marc Laporte (TikiWiki) & Wade Elmo (Microsoft / IIS) Marc Laporte (TikiWiki) & Wade Elmo (IIS)

EN

Marc-André Lanciault, leader of the ImpressCMS project, talks with Marc Laporte (TikiWiki) and Wade Hilmo (Microsoft) about the challenge of integrating open sources CMS on Microsoft IIS Web server instead of their native Apache server stack.

Benoit Grégoire (Savoir-Faire Linux) Benoit Grégoire (Savoir-Faire Linux)

FR

Christian Aubry s’entretient avec Benoit Grégoire était à Confoo pour donner une conférence sur les bases de données, concept omniprésent mais souvent méconnu de la programmation Web.

Sébastien Gioria (OWASP) Sébastien Gioria (OWASP)

FR

Marc-André Lanciault rencontre Sébastien Gioria (OWASP France) pour discuter de ses deux conférences qui portaient bien entendu sur la sécurité des applications Web.

1 tournage = 3 capsules pour Vision PDG et l'AQT

À l’occasion du cocktail de rentrée 2009 de l’AQT, organisme rassemblant les sociétés technologiques du Québec et leurs dirigeants dans une variété d’évènements de formation et de maillage, j’ai reçu la mission de réaliser une série d’entrevues de ses membres à des fins de promotion. Dont acte.

Le tournage unique a eu lieu en septembre. Bien que les deux premières vidéos soient sorties dans le courant de l’automne, je n’en rends compte ici qu’aujourd’hui, faute de temps et d’énergie à consacrer à ma propre promotion. Les clients et la bûche de Noël d’abord ;~) Ces trois capsules sont néanmoins publiées depuis belle lurette sur la page Youtube de l’AQT :

Bilan de l’opération: deux heures de tournage, trois jours de montage, un peu de communication et de suivi pour lier le tout, et voilà ! Pour un budget très raisonnable, l’AQT valorise à la fois son action, un échantillon représentatif de ses membres, sa présence Web et elle sème en prime de jolis petits cailloux dans les moteurs de recherche :

Bienvenue à la méta-conférence #webcomlive !

webcom livePour la quatrième fois en deux ans, j’ai le plaisir d’animer aujourd’hui le webcom live, une « méta-conférence » diffusée en direct sur Internet à partir du foyer de webcom Montréal, où se rencontreront pendant toute la journée une foule d’experts et de praticiens des technologies Internet, des médias, de la communication et de l’entreprise 2.0.

Pourquoi « méta-conférence »? Parce que je ne diffuse pas la conférence comme telle — elle le sera dans quelques semaines seulement — mais un méta-discours sous forme de talk show semi-improvisé autour et, j’espère, au-delà de la conférence. Y participeront les organisateurs, commanditaires et conférenciers, bien sûr, mais aussi le public présent qui proposera, à notre micro, ses commentaires sur l’évènement.

Notre micro, en effet, puisque j’aurai le plaisir de le partager avec Sandrine Prom Tep et Charles Prémont, deux collaborateurs de taille. C’est que je bénéficie, pour cette quatrième édition du webcom live, du soutien intellectuel et financier de deux co-producteurs dont les logos sont affichés ci-contre, soit AgentSolo et le Lien MULTIMÉDIA.

Si vous ne pouvez pas assister à webcom, vous aurez ainsi accès un un aperçu riche et spontané de ce qui s’y passe. Vous pourrez passer vos commentaires et dialoguer dans le clavardage, intervenir en nous posant des questions, voire même créer votre propre show Ustream et nous proposer d’accueillir une mini-conférence à distance d’une durée de 6 à 8 mn maximum.

Martin Ouellette : « Payons la WebTV pour qu’elle reste gratuite! »

J’aime beaucoup Martin Ouellette, le président de Provokat. C’est un personnage épicé, inspiré et attachant. Un visionnaire d’une espèce et d’une honnêteté rare, même, puisqu’il est capable de donner une conférence qui remet en cause son propre modèle d’affaires.

Je croise souvent Martin à Yulbiz et, le mois dernier, il m’a parlé d’une idée de modèle d’affaires 2.0 qu’il venait d’imaginer lors du RDV Media 2009. Un modèle d’affaires pour la WebTV, basé sur le don et sur son corollaire, la gratuité. Très intéressé par son raisonnement, je me suis porté volontaire pour la diffuser dans cette capsule vidéo.

Pourquoi? Eh bien parce que je crois énormément qu’il s’agit d’un modèle d’avenir pour les productions WebTV de divertissement et de fiction. Le temps de la propriété intellectuelle est dépassé. La culture doit désormais circuler plus librement et le plus souvent gratuitement, mais il faut aussi que les créateurs et les artistes trouvent le moyen de gagner correctement leur vie.

Il faut donc que quelqu’un paie, quelque part. L’État? À part les vedettes reconnues, ce sera difficile. Le public dans son ensemble? Cela va à l’encontre de la tendance du gratuit que l’on observe depuis quelques années et qui devrait continuer à s’imposer. Alors qui???

  • Des « micro-mécènes », d’abord, c’est à dire des gens comme vous et moi pouvant s’offrir le luxe d’envoyer quelques dollars à des créateurs de contenus numériques ayant de la valeur à leurs yeux, recevant en échange la gratification d’être publiquement associés à leur diffusion. Le ruissellement de contributions modestes a le pouvoir d’alimenter de grandes lacs de création.
  • Des entreprises et des marques, ensuite, qui trouveront encore plus avantage à investir dans des contenus de valeur plutôt que dans des publicités primaires (et la plupart du temps mensongères) fonctionnant de moins en moins. En s’associant à ces communautés de soutien artistique et culturel, elles gagneront leur sympathie et des oreilles attentives.

Dans le domaine de la WebTV professionnelle et ciblée, c’est déjà un peu comme cela que je fonctionne moi-même pour certains projets. Mes webdiffusions des soirées-conférences de W3Québec et du 3e Mardi, par exemple, sont produites en coproduction avec des partenaires issus de la communauté qui me soutiennent financièrement. Idem pour le talk show interactif du webcom live, que je produirai à nouveau le mois prochain en co-production avec AgentSolo et Le Lien MULTIMÉDIA. Une fois que mes objectifs stratégiques et financiers sont atteints, le contenu généré peut bien circuler et servir à d’autres fins. Il en va de même pour tous les artisans.

Et il en va également de même pour la capsule de Martin. Je l’ai produite à mes frais, mais rien ne vous empêche, si vous la trouvez utile, de me verser ne serait-ce que la moitié de 5 dollars en cliquant sur le bouton ci-dessus. Si cela fonctionne, j’inventerai le « DonatorRoll » en me disant qu’il y a peut-être de l’avenir pour les journalistes reporters d’image indépendants passablement culottés ;D

Ma première Web vidéo industrielle sur iCRIQ.com

Vous vous souvenez peut-être qu’en mars dernier, je réalisais la webdiffusion de la conférence de presse du Centre de recherche industrielle du Québec (CRIQ), qui célébrait le dixième anniversaire de sa banque d’information en ligne — le portail iCRIQ.com. Cette opération a été un franc succès et les choses n’en sont pas restées là.

Au cours des jours qui ont suivi, j’ai eu l’occasion de discuter de vidéo d’information industrielle avec les gestionnaires du portail. Il y a quelques semaines, nous concluions une entente de production Web vidéo comportant la commercialisation d’une série de forfaits allant de la capsule de base au plan de communication par épisodes. Les tarifs, très avantageux, s’échelonnent de 895 $ à 2 500 $.

J’ai le plaisir de vous présenter aujourd’hui une première capsule réalisée dans ce contexte pour l’entreprise montréalaise de produits d’entreposage Pedlex. La vidéo sera intégrée dans quelques jours à la fiche Pedlex d’iCRIQ.com et sur le site Web de pedlex. Il s’agit d’un publi-reportage d’introduction générale. J’ai dû travailler dans un esprit un peu plus publicitaire que d’habitude, mais je suis néanmoins satisfait du résultat.

Les informations contenues dans cette capsule sont factuelles et justes, en effet. La séquence centrale transmet un message pratique aux industriels, à savoir qu’il est préférable de mettre son fournisseur de systèmes d’entreposage en relation avec son architecte avant même la construction ou la rénovation d’un bâtiment. Cela permet de concevoir le meilleur système et de réaliser ainsi le meilleur investissement possible. Il ne s’agit donc pas ici de simple séduction facile, mais d’information et de partage d’expertise, deux ingrédients essentiels à toute communication Web vidéo efficace.

Pour vous renseigner sur les plans de communication Web vidéo d’iCRIQ.com, veuillez contacter le département publicitaire du portail.

Lysistrata, d’après Aristophane

Les élèves de 10F3 de l’École FACE, à Montréal, interprètent la pièce de théâtre d’Aristophane, Lysistrata.

Les élèves de 10F3 de l’École FACE, à Montréal, interprètent la pièce de théâtre Lysistrata, d’après Aristophane, adaptée par Michel Tremblay et André Brassard en 1969 et toujours d’actualité. La mise en scène est signée Christine Malo (enseignante de théâtre) et Ève Fontaine.

Enregistré le 29 mars 2009 dans la P-Scène de l’École FACE.

Quelques liens complémentaires

Le chorégraphe José Navas se lance dans la communication Web Vidéo

Je suis extrêmement heureux de vous présenter, ce soir, la première capsule vidéo que j’ai réalisée pour la troupe de danse contemporaine montréalaise José Navas/Compagnie Flak. Elle a été tournée il y a quelques jours au Studio Flak, approuvée ce matin et mise en ligne ce soir, sur Facebook et Youtube, alors que José et les quatre excellents danseurs qui l’accompagnent sur scène s’envolaient pour l’Allemagne où ils vont présenter une nouvelle version de la pièce Anatomies.

Cette entrevue en anglais s’inscrit dans le cadre d’une stratégie de communication Internet ambitieuse qui ne fait que commencer et qui risque de faire autant de musique que de bruit. Je brûle de vous en dire plus, mais en bon professionnel, je devrais rester discret pendant une dizaine de jours encore, jusqu’à ce que j’ai livré le nouveau site Web de la Compagnie.

Malheureusement, j’en suis incapable. Voici donc trois petits indices qui m’aideront à patienter :

  1. Comme il se doit quand l’on a autant de talent, de fans à choyer et d’images à offrir, il s’agira d’un vidéoblogue.
  2. Lequel sera propulsé par WordPress, le CMS léger le plus performant qui soit.
  3. De la technologie Flash qui rend le site actuel opaque aux moteurs de recherche, il ne restera qu’un lecteur vidéo.

Sexe, mensonge, fausse pub et Web vidéo

Hier matin, sur le blogue de Yannick Manuri, j’ai découvert une fausse publicité virale pour la bière Guiness diffusée sur YouTube. La célèbre boisson y est associée à l’habile suggestion d’une relation sexuelle entre une femme et quelques hommes. La compagnie exploitant la marque a évidemment réagi en désapprouvant formellement cette parodie. Youtube n’a pas encore retiré le clip et cela ne m’étonne pas, puisque je le trouve moi-même intéressant à plus d’un titre.

Hier matin, sur le blogue de Yannick Manuri, j’ai découvert une fausse publicité virale pour la bière Guiness diffusée sur YouTube. La célèbre boisson y est associée à l’habile suggestion d’une relation sexuelle entre une femme et quelques hommes. La compagnie exploitant la marque a évidemment réagi en désapprouvant formellement cette parodie. Youtube n’a pas encore retiré le clip et cela ne m’étonne pas, puisque je le trouve moi-même intéressant à plus d’un titre.

L’aspect didactique

Cette fausse pub pousse un cran plus loin l’attitude d’exploitation psychosociale de la sensualité, de la jeunesse et du corps féminin auquel les publicitaires s’adonnent déjà depuis des lustres au profit de commerces de tout acabit — boissons, voitures, vêtements, meubles et j’en passe. Le terrain étant bien préparé, il n’est pas étonnant que plusieurs commentateurs — et commentatrices! — de Yannick avouent l’avoir appréciée. Il n’y a d’ailleurs rien d’explicitement obscène à l’écran. La connexion cognitive avec l’image d’une relation sexuelle orgiaque créée dans l’esprit du webspectateur lui appartient totalement (enfin, presque, comme le précise Martin en commentaire). D’où cette impression de plaisir polisson, mais non coupable.

C’est le même phénomène qui est à l’œuvre lorsqu’on présente une boisson houblonnée dans un contexte qui ne lui est absolument pas associé dans la réalité, mais que nos perceptions et mémoires cognitives associent à une émotion positive. La bière et le party, par exemple. La bière et le flirt lascif avec cette belle fille assise, là, au bar. La bière et le rock & roll à fond la caisse, baby. La bière et le pouvoir régénérant de la nature et de l’océan — ah ben tiens, ça c’est nouveau et cela en dit long sur l’évolution actuelle de notre société, j’y reviendrai dans un instant…

The last campaign for Guinness, created by Abbott Mead Vickers. BBDO, was a press campaign earlier this year to push the drink ahead of the start of the sporting summer. The strapline, “You can almost taste it”, drew connections between a pint of Guinness and natural scen­ery, including the ocean.

Bref, en passant de la sensualité lascive à l’allusion sexuelle explicite, ce pastiche fort bien réalisé donne à voir les ressorts subliminaux profonds du discours publicitaire traditionnel. De ce fait, il m’apparaît plus didactique que scandaleux. D’une certaine manière, on peut le regarder comme on regarde une œuvre d’art.

L’aspect politique

Par exemple, J’ai l’impression que ce genre de détournement rééquilibre quelque peu la relation de pouvoir qui existe, à travers la publicité, entre les sociétés commerciales et les simples citoyens que l’on a pris soin de déshumaniser en les baptisant « consommateurs ». Après des décennies au cours desquelles la pub a manipulé, sans se poser trop de questions éthiques, la psyché collective, voici que la manipulation n’est plus à sens unique et que les images de marque sont elles-mêmes détournées sans vergogne.

Dans le premier cas, la manipulation mentale est désignée par le noble terme de « création publicitaire ». Dans le second, on parlera plus simplement de piratage et d’atteinte à l’image de marque, celle-ci étant protégée par le système juridique des marques de commerce. Pourtant, au fond, il s’agit essentiellement du même phénomène : un mensonge ou, si vous préférez, une fausse promesse destinée à créer une émotion positive à travers une association cognitive artificielle. Pensez à toutes ces pubs automobiles qui, au premier degré, nous vendent une belle fille sexy ou un excès de vitesse criminel.

Reste à évaluer le mobile de ces deux types de manipulations. Dans le cas de la publicité commerciale, il s’agit de provoquer un acte d’achat aux finalités strictement économiques et financières. Dans le second, comme par exemple ce pastiche Guiness, il s’agit de provoquer une distanciation cognitive et, au final, une prise de conscience sociale. C’est, en tout cas, ce que je me plais à croire jusqu’à de plus amples informations sur les motivations réelles des auteurs de ce clip.

L’aspect techno-sociologique

Après avoir malmené le système institutionnalisé de protection des droits d’auteur appliqué aux industries médiatiques, musicales et cinématographiques, il est clair que les technologies numériques associées au réseau Internet commencent à malmener également le système de protection des images de marque. Les œuvres artistiques numérisées et les images de marque ont en effet ceci en commun, qu’elles sont immatérielles et peuvent donc être produites, copiées, modifiées et rediffusées à l’infini.

Par ailleurs, l’amélioration permanente des outils numériques et leur production de masse en font sans cesse baisser la courbe d’apprentissage et les coûts. La réalisation d’un tel pastiche ou la diffusion massive d’une information sont maintenant à la portée de n’importe qui d’assez intelligent et déterminé pour s’en donner la peine. Il est donc à prévoir que les détournements d’images de ce genre vont, à l’avenir, se multiplier.

Et la « comm », dans tout ça ?

Je trouve assez intéressant que Guiness ait récemment choisi d’associer sa marque avec la nature, comme on l’a vu plus haut, plutôt qu’avec l’énergie festive de la jeunesse et la sexualité. Même s’il s’agit toujours d’une exagération publicitaire aux finalités mercantiles, cela dénote un glissement de la psyché collective vers des valeurs plus naturelles, permanentes, essentielles, liées à l’être plutôt qu’à l’avoir et au paraître.

Tout comme le monde de la pub, celui de la communication a cruellement besoin de faire son examen de conscience afin de mieux répondre aux exigences de notre époque. Je crois profondément qu’il est fini, ce temps où des spins doctors en relations publiques manipulaient sans état d’âme les journalistes — souvent consentants, il faut bien le dire — et rédigeaient des communiqués de presse ronflants et triomphants afin de faire mousser une information objectivement intéressante, mais sans plus.

Dans ce contexte, je crois que nous devons revenir à l’essentiel : des communications factuelles propres et bien faites, visant à servir l’intérêt public à long terme plutôt qu’à obtenir un gain corporatif artificiel à court terme. Bien sûr, c’est loin d’être aujourd’hui ce que tous nos clients nous demandent. Mais certains d’entre le font déjà, ayant compris qu’il est dans leur intérêt de positionner leur entreprise à long terme pour ce qu’elle est et non pour ce qu’elle prétend être. Il est également dans notre intérêt de faire comprendre cela aux autres.

Un aspirateur innovant et bien conçu n’a pas besoin de se cacher derrière une paire de seins pour être bien communiqué. Il en va de même pour une entreprise saine qui a tout à gagner à communiquer en profondeur, avec sincérité, en privilégiant les valeurs humanistes qui devraient idéalement sous-tendre chacune de ses actions économiques.

La communication Web vidéo est un outil particulièrement adapté à ce type de communication. Il n’est pas le seul, certes, mais il permet de mettre l’image, le verbe et l’humain au service des organisations mieux que n’importe quel autre. Nous en reparlerons…

Les pirates informatiques utilisent la vidéo en ligne pour appâter les internautes

Le succès phénoménal de la vidéo en ligne n’attire pas que les communicateurs d’entreprises, des médias et du divertissement. Depuis quelques temps, les actes de piraterie informatique dissimulés derrière le téléchargement d’un inoffensif clip vidéo se multiplient. Ceci dit, il n’y a là rien de nouveau et cela ne fait que confirmer deux évidences : la vidéo en ligne, c’est attirant et la sécurité informatique, c’est important.

Le succès phénoménal de la vidéo en ligne n’attire pas que les communicateurs d’entreprises, des médias et du divertissement. Depuis quelques temps, les actes de piraterie informatique dissimulés derrière le téléchargement d’un inoffensif clip vidéo se multiplient. Ceci dit, il n’y a là rien de nouveau et cela ne fait que confirmer deux évidences : la vidéo en ligne, c’est attirant et la sécurité informatique, c’est important.

De nos jours, en effet, les pirates informatiques n’ont plus grand chose à voir avec une bande de joyeux drilles s’amusant à contourner les dispositifs de sécurité des systèmes d’exploitation populaires par défi technico-sportif. La plupart du temps, il s’agit de gangs mafieux arraisonnant des millions d’ordinateurs à l’aide de vers et de chevaux de Troie afin de les utiliser à leurs fins criminelles : vol d’identité, pollupostage, attaques par force brute sur des sites sensibles, etc.

Pour arriver à leurs fins, les pirates exploitent toutes les failles disponibles : celles du populaire système d’exploitation Windows, bien sûr (et, à l’occasion, de son concurrent Mac OS), celles des principaux logiciels du marché, des plateformes mobiles, etc., mais surtout et avant tout, l’insouciance d’internautes avides d’information instantanée et de plaisirs faciles.

Ainsi, les courriels proposant de télécharger gratuitement une vidéo classée XXX sont tellement en vogue qu’on pourra bientôt les qualifier de maladies « cyber-vénériennes ». L’actualité constitue également un déguisement de choix. Ces jours-ci, par exemple, le programme malicieux Storm Worm se propage au moyen d’un courriel vous invitant à visionner une vidéo d’un tremblement de terre ayant frappé la Chine en endommageant les infrastructures olympiques !

En réalité, les vidéos elles-mêmes sont et restent totalement inoffensives. Ce qui l’est moins, par contre, c’est le code exécutable intégré dans les pages Web où sont présentées ces vidéos, ou encore l’enveloppe exécutable (reconnaissables aux extensions .exe ou .zip des noms de fichiers) censée favoriser un téléchargement plus rapide. Certains pirates poussent la roublardise jusqu’à demander à l’internaute la permission d’installer un nouveau codec vidéo sur son ordinateur, sans quoi il lui sera impossible d’accéder aux images convoitées.

Même si tout ceci ne date pas d’hier (on en parlait déjà en l’an 2000 !), il n’est pas inutile de rappeler à vos proches ces quelques points fondamentaux :

  • Pour peu que vous disposiez déjà des lecteurs Adobe Flash, Apple Quicktime et Windows Media (ou de logiciels libres équivalents), vous ne devriez jamais avoir à installer délibérément quoi que ce soit sur votre ordinateur pour lire une vidéo en ligne.
  • Il est totalement déconseillé d’ouvrir sans précaution un fichier exécutable de provenance inconnue ou douteuse, même si c’est un ami qui vous l’envoie.
  • Un bon logiciel antivirus et par un pare-feu efficace sont des pré-requis pour tous les internautes, y compris et surtout ceux qui ne s’intéressent pas au fonctionnement de leur ordinateur.

Internet n’est pas un réseau familial. C’est un écosystème informatique ouvert aussi merveilleux mais, parfois, aussi dangereux que peut l’être « la vraie vie ». Dans le monde réel comme dans le monde virtuel, prudence, réflexion et gros bon sens sont de mise.

Venez participer au "off Webcom" sur Yahoo! Live avec nous :)

Plus qu’une quinzaine d’heures avant le coup d’envoi de la conférence Webcom Montréal 2008 qui mettra, demain, les technologies et les usages du Web 2.0 sur toutes les bouches au siège de l’OACI. Comme vous le savez, VideoPresse y animera, pendant toute la journée, une émission de Web TV calquée sur le même moule 2.0 : simplicité, innovation, participation, rétroaction !

Plus qu’une quinzaine d’heures avant le coup d’envoi de la conférence Webcom Montréal 2008 qui mettra, demain, les technologies et les usages du Web 2.0 sur toutes les bouches au siège de l’OACI. Comme vous le savez, VideoPresse y animera, pendant toute la journée, une émission de Web TV à la même sauce 2.0 : créativité, simplicité, participation, rétroaction !

Laurent et moi avons procédé, hier après-midi, à quelques tests sur notre chaîne Yahoo!Live afin de nous assurer d’être parés au plan technique. Avec ce type d’applications en ligne, il n’est pas nécessaire de disposer de matériel sophistiqué pour réaliser une émission. Au contraire, seules les webcams et les caméras vidéos bas de gamme disposant d’une fonction webcam sont reconnues par l’extension Flash des navigateurs Web pilotant la transmission. Voilà un trait bien caractéristique du Web 2.0 : la démocratisation de l’accès aux outils de communication.

Trousse matérielle de l’émission

Trousse logicielle de l’émission

Programme et participation sur place

Nous avons déjà une liste de conférenciers, organisateurs et partenaires de la conférence qu’il serait bon d’avoir devant notre caméra, mais pas encore d’horaire établi. En fait, la programmation sera réalisée sur place, en temps réel, dans la plus pure tradition beta, et annoncée au fur et à mesure sur notre chaîne Twitter. Il vous suffit de vous abonner à celle-ci ou de la consulter en ligne pour ne rien rater de ce qui vous intéresse.

Par ailleurs, le Web 2.0 est aussi une affaire de contenu généré par l’utilisateur (UGC). Nous sommes donc très heureux d’inviter les organisateurs, conférenciers, partenaires — sans oublier les participants — à s’exprimer, témoigner, débattre et commenter la conférence devant nos caméras. À l’inverse, ceux parmi vous qui suivrons l’émission en ligne sont invités à se connecter à Yahoo! (ou à ouvrir un nouveau compte) afin de pouvoir clavarder avec nous, voire même participer aux échanges par l’entremise de leur webcam de bureau.

Il ne reste plus qu’à croiser les doigts pour que tout se passe bien dans le meilleur des mondes beta. Merci d’avance à toutes celles et ceux qui participeront à cette expérience digne de Webcom et de cette nouvelle frontière que nous essayons tous de repousser un peu plus chaque jour. Bonne conférence ! Bonne Webmission ! : )

Jordin Sparks en pleine action

PS : nous ne sommes pas les premiers à joindre Twitter à Yahoo! Live dans une même diffusion. En fait, l’équipe de Yahoo! Live a ouvert sa chaîne Twitter en janvier dernier. C’est ainsi que j’ai pu suivre, ce matin, une vidéoconférence en direct de Jordin Sparks, alias J-Speezy, qui s’entretenait de façon très naturelle avec plus d’une centaine de teenagers devant sa webcam. Imaginez, esprits créatifs et allumés, tout ce qui devient possible !

Premier anniversaire de TechnoMontréal… et de VidéoPresse !

Voici une vidéo accompagnant un communiqué de presse qui me tient particulièrement à coeur : Pierre Root, directeur général de TechnoMontréal, et Laurent Maisonnave, associé et co-fondateur de VidéoPresse, y annoncent un partenariat visant à promouvoir les entreprises de technologies de l’information et de la communication du Grand Montréal à l’aide de la Web Vidéo. Cette annonce se prolongera ce soir, au 5@7 de TechnoMontréal, où nous vous espérons nombreux.

Ce soir, au Restaurant Le Quartier, nous ferons donc une courte présentation sur les petits secrets d’une bonne « Web communication vidéo ». Nous y fêterons aussi, de façon très informelle, un double anniversaire. C’est le 13 avril 2007, en effet, que la Grappe des technologies de l’information et de la communication du Grand Montréal était officiellement lancée par sa P.-d.g. fondatrice, Lyne Bouchard. Par ailleurs, Laurent Maisonnave et moi-même réalisions le même jour notre première collaboration vidéo, laquelle allait nous amener, de fil de micro en lampe halogène, à nous associer afin de bâtir VidéoPresse.

Un an plus tard, la vision de Mme Bouchard quant à la nécessité de promouvoir l’industrie montréalaise des TIC ne se dément pas. Grâce aux retombées de cette entrevue en termes d’image et de contacts internationaux, Lyne avait découvert la force de la Web communication vidéo. C’est avec elle que nous avions jeté les bases du partenariat annoncé aujourd’hui et c’est avec son successeur, Pierre Root, qui en a également saisi tout le potentiel, que nous l’avons finalement conclu.

Ceci dit, ce partenariat est un peu comme un blogue : un bel engin prêt à vrombir, mais dans lequel l’essentiel reste à créer, à savoir le contenu. Il appartient donc maintenant aux 2750 entreprises de la Grappe de saisir cette opportunité et de prendre, efficacement et simplement, le « virage » de la Web communication vidéo. Si la tendance se maintient, comme dit un présentateur célèbre, c’est toute l’économie montréalaise qui en sortira gagnante au plan international, affirmant ainsi son dynamisme, sa convivialité et son positionnement à la fine pointe de l’évolution des TIC.