3e Mardi | Congrats Michelle | Hello Tara Hunt

Si l’on en croit la liste des invités ayant répondu présent sur Facebook, le petit café du centre-ville où se tient les “cooférences” (un néologisme de mon cru) du 3e Mardi va être plein à craquer. La réputation de Tara Hunt y est évidemment pour quelque chose et nombreux seront ceux, au Canada, aux États-Unis et au-delà, qui auront le goût de suivre sa présentation en direct sur le canal Ustream du 3e Mardi.

Sur un air connu (Il est rev’nu le temps des conféreeeen-ceuuuu…), et après la rentrée de W3Québec, j’aurai le plaisir, mardi prochain, de webdiffuser celle du 3e Mardi | Third Tuesday Montreal en direct du chic Daylight Factory. Et quoi de plus agréable, pour vous donner envie de nous rejoindre sur place ou à distance, qu’une petite entrevue vidéo avec Michelle Sullivan, co-animatrice de l’événement ?

Sur DailyMotion: En attendant la conférence de Tara Hunt au 3e Mardi

Si l’on en croit la liste des invités ayant répondu présent sur Facebook, le petit café du centre-ville où se tient les « cooférences » (un néologisme de mon cru) du 3e Mardi va être plein à craquer. La réputation de Tara Hunt y est évidemment pour quelque chose et nombreux seront ceux, au Canada, aux États-Unis et au-delà, qui auront le goût de suivre sa présentation en direct sur le canal Ustream du 3e Mardi.

Cette webdiffusion sera présentée par HKDP (Hill & Knowlton à Montréal), l’un des principaux cabinets-conseils en communications et en relations publiques au Québec qu’a récemment intégré Michelle à titre de Directrice des communications numériques.

Bonne fin de semaine et à mardi !

Android Montréal s’invite au Momomo

Le groupe Android Montréal a été créé sur Facebook cette semaine et ses co-fondateurs se rencontreront le lundi 7 décembre, au Café Républic, juste avant le Mobile Monday Montreal. Celui-ci commençant à 18h30, nous vous invitons à nous retrouver sur place vers 18h.

Android Montréal s'invite au Mobile MondayÔ miracle! Figurez-vous que le groupe Android Montréal a été créé sur Facebook cette semaine et que ses co-fondateurs (John Brohan et moi-même) se rencontreront pour la première fois le lundi 7 décembre, au Café Républic, juste avant le Mobile Monday Montreal, alias Momomo. Celui-ci commençant à 18h30, nous invitons les utilisateurs de téléphones Android, alias « GPhones », ainsi que les développeurs et gestionnaires intéressés par cette plateforme mobile à nous retrouver sur place vers 18h.

Nous espérons que le milieu québécois des technologies mobiles est bien conscient de l’arrivée d’un futur joueur de poids sur le marché, puisque l’Open Handset Alliance est déjà soutenue par 48 entreprises, dont plusieurs géants de l’informatique et des technologies mobiles. Il faut bien comprendre que le succès actuel du iPhone, basé sur la technologie propriétaire de Apple, sera très bientôt relativisé par l’arrivée sur le marché d’offres de plus en plus alléchantes tablant sur la puissance de Google et l’ouverture du système d’opération Android.

Aux États-Unis, déjà, trois des huit meilleures offres mobiles sélectionnées par le Silicon Alley Insider sont propulsées par ce système d’opération. Je gage que, l’an prochain, on en sera au moins à la moitié, et peu importe que le style inimitable et l’excellence du iPhone séduise toujours une certaine élite techno/sociale !

Or, que remarque-t-on, dans la prestigieuse liste des membres de l’Open Handset Alliance ? Sauf erreur de ma part, il n’y figure aucune entreprise canadienne. À croire que, dans nos contrées nordiques, le sigle OHA ne puisse pas signifier autre chose que Ontario Hockey Association ou, à l’extrême limite, Ontario Horticultural Association.

À Montréal, cité aux aspirations technologiques s’il en est, il serait vraiment dommage que nous passions à côté d’un tel phénomène et de telles opportunités d’affaires, notamment en Asie où la pénétration du iPhone reste encore très marginale et risque de le rester longtemps.

Outre cela — et, je l’avoue, très égoïstement 😉 — j’aimerais bien qu’un pool de développeurs s’engage à porter sur Android l’application mobile d’Ile sans fil que Kolt Production a développé pour le iPhone et dont le code source sera ouvert dès la fin du mois. Ce serait un beau cadeau de Noël à faire aux centaines de bénévoles de cette association visionnaire qui facilite la mobilité sans fil dans notre belle et fière cité !

Et les nominés du tirage au sort d'une WEB VIDÉO GRATUITE sont…

Le premier «twit» de 13h50Quelle aventure ! Pour mémoire, j’ai lancé un appel à tous sur Twitter et Facebook vers 13h50, hier, implorant l’aide de mes contacts afin d’atteindre les 100 « fans » nécessaires à l’octroi d’une URL personnalisée pour ma page « commerciale » Facebook. Je venais tout juste de la sortir de mes boîtes — ah, la folie du déménagement de juillet ! 😉

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Pour en finir avec les demandes de connexion Facebook (et Linkedin*) infondées

Du bon usage des outils de contact personnel sur les médias sociaux.

Comme vous-même, je suppose, je reçois régulièrement des demandes de connexion Facebook [PS: ou Linkedin] émanant de personnes inconnues qui ne me donnent aucune façon d’évaluer la pertinence de leur répondre « oui » ou « non ». Très souvent, la consultation de leur profil, laconique et/ou insignifiant, n’apporte aucun élément de réponse.

business_cardPour ne pas être impoli, j’ignore donc leur demande tout en leur envoyant un petit mot personnalisé, du genre:

« Bonjour Gisèle. Où nous sommes-nous rencontrés? Si ce n’est pas le cas, que me vaut l’immense plaisir de m’interroger avec une grande perplexité sur la raison de votre demande de connexion? »

Quelle perte de temps!

Pourtant, chaque formulaire de demande est accompagnée d’une option « Ajouter un message personnel… » permettant, justement, d’ajouter une once de savoir-vivre, quelques explications, une touche personnelle, enfin, à sa demande. Comment se fait-il que ces gens ne l’utilisent pas puisqu’ils s’adressent à un pur inconnu?

Une carte d’affaires? La belle affaire!

Certes, ma copine Michelle Blanc affirme sur toutes les ondes accepter les demandes de n’importe qui car (je résume) « on ne refuse pas une carte d’affaires, n’est-ce pas? ». Michelle étant désormais un personnage public, c’est son privilège et son droit. Ce qui est vraie pour elle ne l’est cependant pas forcément pour tout le monde et je vais tenter de vous expliquer pourquoi.

En ce qui me concerne, mon profil Facebook n’est pas un lieu de travail, mais de détente personnelle et professionnelle, un « partenariat public/privé », en quelque sorte. J’y tiens librement des propos tantôt professionnels, tantôt personnels. J’y suis connecté avec ma fille adolescente, des membres de ma famille, des collègues de travail, des relations proches ou lointaines, voire même des gens que je ne connais ni d’Adam ni d’Ève, mais avec qui j’ai eu des échanges agréables ici ou là.

Je publie sur Facebook des éléments publics ainsi que des éléments classés « privés mais non confidentiels ». Je tiens donc à connaitre un peu les gens à qui je donne accès à mes données privées. Idéalement, je m’impose de créer avec eux un début de relation personnelle, même si celle-ci est encore mince et embryonnaire.

Dans la vraie vie, je ne refuse jamais une carte d’affaires que l’on me tend en me disant bonjour, puis en m’adressant quelques mots d’explication et un sourire. Sinon, que ferais-je de la carte d’un inconnu dont je ne sais rien? Elle finirait dans une poubelle ou un tiroir. À quoi bon? Et pourquoi donnerais-je la mienne à une personne qui ne m’adresse même pas la parole? Pour me bercer de quelle illusion?

Connexion, mode d’emploi

En conclusion, j’invite tous celles et ceux qui souhaitent me compter parmi leurs amis Facebook à ne pas le faire à la légère. Je leur demande aimablement de se poser simplement cette question: « Pourquoi et qu’est-ce que j’ai à échanger avec ce type? ». Ensuite, il leur suffit d’accompagner leur demande d’un petit mot *personnalisé* et d’y partager avec moi la réponse à cette question. Voilà, c’est tout!

Si c’est encore trop leur demander, il peuvent toujours se connecter à mon profil LinkedIn. Il s’agit là d’un strict profil d’affaires. Je n’y verrai donc aucun inconvénient.

Mise à jour (13 février 2012)

* Dérives actuelles et bon usage de Linkedin:

Malheureusement, Linkedin est devenu entretemps le nouvel Eldorado des chercheurs d’or virtuel, collectionneurs de contacts et solliciteurs commerciaux en tous genres. À mon grand regret, je n’y accueillerai plus que les demandes de connexions pertinentes, c’est à dire conformes à la vocation de ce réseau de contacts professionnels avérés.

Je me suis rendu compte, en effet, qu’il n’est pas du tout pertinent de créer des connexions Linkedin factices avec des inconnus, aussi sympathiques et bienveillants soient-ils. En plus de « délayer la sauce » et d’affaiblir le rapport signal/bruit, cela dénature la valeur même de ce réseau dans lequel tout contact découle théoriquement d’une relation préexistante à même d’engendrer, le cas échéant, une recommandation crédible. La nécessité de cette relation est écrite noir sur blanc dans les conditions d’utilisation (article 10):

B – Don’t undertake the following::
5 – Invite people you do not know to join your network;
(…)
8 – f) (…) (a) using LinkedIn invitations to send messages to people who don’t know you or who are unlikely to recognize you as a known contact; (b) using LinkedIn to connect to people who don’t know you and (…)

Si la magie de « l’effet réseau » permet d’y entrer en contact avec un grand nombre d’inconnus constituant autant de nouveaux contacts potentiels, c’est avant tout grâce au filtrage bidirectionnel de personnes dignes de foi, pas à l’aveuglette. Plus cette chaîne de confiance professionnelle basée sur l’expérience vécue est trahie par ses propres utilisateurs, plus Linkedin perd de sa pertinence et, avec elle, de son utilité socio-professionnelle. Pour ne pas dire de sa future valeur boursière, mais souhaitons-lui de ne pas en arriver là.

Si vous cherchez à faire de nouveaux contacts sur Linkedin, voici mes conseils:

  • N’envoyez jamais de demande de connexion à une personne qui ne vous connait pas sans lui envoyer en même temps un message personnalisé contenant des explications claires et solides de ce geste;
  • N’affirmez jamais de contre-vérité en cochant n’importe quoi sur le formulaire de validation de la demande (« Comment avez-vous rencontré Untel? »);
  • Ne présumez pas que le fait d’être abonnés à un même groupe Linkedin est une raison suffisante pour accepter votre invitation;
  • Participez plutôt avec dynamisme aux groupes de discussion afin de démontrer qu’ils correspondent à vos intérêts professionnels majeurs. Vous y susciterez alors certainement la sympathie et l’intérêt de gens qui, comme vous, sont ouverts à de nouvelles connexions. Une fois qu’ils auront échangé leurs opinions avec vous dans une ou plusieurs conversations, ils seront prêts à répondre favorablement à votre message personnalisé d’invitation.
  • Enfin, posez-vous toujours deux questions avant d’inviter une personne dans votre réseau:
    • Quel intérêt ai-je à établir cette connexion, alors que je peux suivre cette personne sur un groupe de discussion Linkedin, peut-être aussi sur Twitter ou Google Plus, sans nécessairement l’ajouter à mes contacts?
    • Quel intérêt ma demande a-t-elle pour elle et comment la lui la mieux présenter ?

Ça a l’air bête comme ça, mais, à en juger par les demandes que je reçois, bien des gens ne se posent jamais ces questions élémentaires !

WebÉducation : Frédéric Brown présente la technologie AJAX

Voici la dernière vidéo du séminaire WebÉducation sur le Web 2.0. Frederic Brown, webmestre au Centre de services partagés du Québec, y présentait la très populaire technologie AJAX dont les effets d’interface fluide et intuitive enrichissent nombre d’applications Web 2.0.

Questions abordées :

  • Qu’est-ce qu’Ajax ?
  • Comment et avec quelle technologies Ajax fonctionne-t-il ?
  • Ajax, seul ou enchâssé dans un produit de plus haut niveau, constitue-il une opportunité pour les communicateurs gouvernementaux ?
  • Si oui, comment peut-on en tirer le meilleur parti ?

VIDÉO PORTÉE DISPARUE

Pour votre commodité, vous pouvez parcourir les diapositives de la présentation ci-dessus ou bien télécharger la version PDF (790 Ko).

Retrouvez toutes les vidéos du WebÉducation du 13 décembre 2007 :

WebÉducation : Patrice Caron démêle les fils RSS

Trois mois après la conférence WebÉducation sur le Web 2.0 de décembre dernier, nous publions cette semaine les deux dernières présentations de la série. Pour commencer, voici celle qui nous aura donné le plus de fil à retordre, si je puis dire. Patrice Caron y démêle les mille et une possibilités offertes par les fils RSS.

Trois mois après la conférence WebÉducation sur le Web 2.0 de décembre dernier, nous publions cette semaine les deux dernières présentations de la série. Pour commencer, voici celle qui nous aura donné le plus de fil à retordre, si je puis dire. Patrice Caron y démêle les mille et une possibilités offertes par les fils RSS.

Ce jeu de mots facile n’est pas anodin : la présentation de Patrice comportait en effet plusieurs démonstrations en temps réel fort intéressantes, mais difficiles à restituer confortablement en vidéo. Finalement, nous avons pris le parti de les retirer de la séquence. Les 30 minutes restantes permettent cependant de faire le tour des tenants et aboutissants du format RSS et de son utilisation pour diffuser l’information gouvernementale, comme le démontre Patrice dans son agrégateur des fils RSS du domaine gouv.qc.ca.

VIDÉO PORTÉE DISPARUE

Pour votre commodité, vous pouvez parcourir les diapositives de la présentation ci-dessous ou bien télécharger la version PDF (220 Ko). Notons que les deux dernières diapositives contiennent une sélection de liens complémentaires pour celles et ceux qui voudront aller plus loin.

Retrouvez toutes les vidéos du WebÉducation du 13 décembre 2007:

WebÉducation: Bienvenue à l’ère du Web 2.0

Chose promise, chose due. Voici la vidéo de la première présentation de WebÉducation, la journée de formation des webmestres du Gouvernement du Québec sur le Web 2.0 qui a eu lieu le 13 décembre dernier. Cette courte introduction avait pour objectif de planter le décor et les enjeux principaux du Web 2.0. Elle fut suivie de cinq conférences plus étoffées dont nous mettrons les vidéos en ligne au cours des prochaines semaines.

Pour votre commodité, vous pouvez parcourir les diapositives de la présentation ci-dessous ou bien télécharger la version PDF. La vidéo commence à la troisième diapositive, les précédentes n’ayant pas vraiment d’intérêt dans le contexte de cette webdiffusion.

Retrouvez toutes les vidéos du WebÉducation du 13 décembre 2007: