Le Réseau Action TI communique et met en marché ses événements en Web vidéo

Au cours des quatre derniers mois, j’ai réalisé trois capsules pour la Section de Montréal du Réseau ACTION TI, qui a commencé à accompagner ses événements de communications Web Vidéo. La finalité d’affaires est double (communication + marketing) et les déclinaisons variables.

Cette liste de lecture comprend trois vidéos. Utilisez les flèches latérales ou icônes pour naviguer de l’une à l’autre.

Au cours des quatre derniers mois, j’ai réalisé trois capsules pour la Section de Montréal du Réseau ACTION TI, qui a commencé à accompagner ses événements de communications Web Vidéo. La finalité d’affaires est double (communication + marketing) et les déclinaisons variables. Fait inusité: je fais également partie de l’équipe technique événementielle en captant les activités afin d’en retransmettre les gros plans sur les écrans de la salle. Mixées à des entrevues ciblées, ces captations servent ensuite de plans d’illustration dans les capsules, tout en étant archivées sur les disques durs de l’association pour usage ultérieur.

  • Intracom 2010 – Commentaires des participants
    Réalisée lors de la conférence INTRACOM 2010, cette capsule/souvenir permet de communiquer aux membres du réseau un aperçu de la conférence et de les inciter éventuellement à participer à la prochaine édition. Remarquez qu’il ne s’agit pas de pub, mais bien d’un reportage aussi neutre que possible, idéal facilement atteint puisque la conférence s’est fort bien déroulée.
     
  • Intracom 2010 – La transformation du web et des communications interactives
    Réalisée et diffusée quelques semaines avant la conférence, cette capsule visait évidemment à maximiser les inscriptions. On y trouve les témoignages de trois conférenciers précédés d’un mot de la présidente. Le tournage, qui n’a duré qu’une trentaine de minutes, a eu lieu au Palais des Congrès de Montréal.
     
  • Cocktail du Nouvel An – Combat des chefs en TI
    Nourrie d’une entrevue avec le PDG de l’association, la captation de ce « cocktail 2.0 » du Nouvel An a permis de mettre en valeur la participation des membres aux activités du Réseau et la créativité de celui-ci. Il s’agissait donc essentiellement d’une capsule de communication.

Au final, je suis très heureux de cette collaboration régulière qui me permet de continuer à servir le milieu des TI, comme je le fais depuis maintenant une douzaine d’années, et qui me force à réfléchir et à approfondir ma maîtrise de la communication Web Vidéo. Dans les capsules d’INTRACOM, par exemple, j’ai systématiquement joué avec l’espace-temps éditorial que m’offre la vidéo afin d’inclure des éléments de texte, des images, des symboles, autant de soutiens visuels introduisant une composante de « réalité augmentée » dans l’objet de communication Web Vidéo. Avec le temps réel, cet aspect est un axe de développement fondamental de ma pratique actuelle.

Guillaume Brunet entre chez Cossette Optimum en passant par Yulbiz ;)

Le copain blogueur, yulbizeur, marketeur, twitter et «foursquareur» Guillaume Brunet a terminé sa période Transcontinental. Dès le 8 mars 2010, il sera à l’emploi d’Optimum relations publiques (une division de Cossette) à titre de directeur principal des médias sociaux.

Please RT !!! Le copain blogueur, yulbizeur, marketeur, twitter et «foursquareur» Guillaume Brunet a terminé sa période Transcontinental. Dès le 8 mars 2010, il sera à l’emploi d’Optimum relations publiques (une division de Cossette) à titre de directeur principal des médias sociaux.

C’est à Yulbiz qu’il a officiellement dévoilé la nouvelle hier soir en me demandant d’en immortaliser l’annonce en vidéo. Étant donné la carrure — dans tous les sens du terme — du bonhomme, j’aurais vraiment eu tort de refuser 😉

PS: Merci aux gentils figurants involontaires — on n’a plus de vie privée 😉

3e Mardi | Congrats Michelle | Hello Tara Hunt

Si l’on en croit la liste des invités ayant répondu présent sur Facebook, le petit café du centre-ville où se tient les “cooférences” (un néologisme de mon cru) du 3e Mardi va être plein à craquer. La réputation de Tara Hunt y est évidemment pour quelque chose et nombreux seront ceux, au Canada, aux États-Unis et au-delà, qui auront le goût de suivre sa présentation en direct sur le canal Ustream du 3e Mardi.

Sur un air connu (Il est rev’nu le temps des conféreeeen-ceuuuu…), et après la rentrée de W3Québec, j’aurai le plaisir, mardi prochain, de webdiffuser celle du 3e Mardi | Third Tuesday Montreal en direct du chic Daylight Factory. Et quoi de plus agréable, pour vous donner envie de nous rejoindre sur place ou à distance, qu’une petite entrevue vidéo avec Michelle Sullivan, co-animatrice de l’événement ?

Sur DailyMotion: En attendant la conférence de Tara Hunt au 3e Mardi

Si l’on en croit la liste des invités ayant répondu présent sur Facebook, le petit café du centre-ville où se tient les « cooférences » (un néologisme de mon cru) du 3e Mardi va être plein à craquer. La réputation de Tara Hunt y est évidemment pour quelque chose et nombreux seront ceux, au Canada, aux États-Unis et au-delà, qui auront le goût de suivre sa présentation en direct sur le canal Ustream du 3e Mardi.

Cette webdiffusion sera présentée par HKDP (Hill & Knowlton à Montréal), l’un des principaux cabinets-conseils en communications et en relations publiques au Québec qu’a récemment intégré Michelle à titre de Directrice des communications numériques.

Bonne fin de semaine et à mardi !

1 tournage = 3 capsules pour Vision PDG et l'AQT

À l’occasion du cocktail de rentrée 2009 de l’AQT, organisme rassemblant les sociétés technologiques du Québec et leurs dirigeants dans une variété d’évènements de formation et de maillage, j’ai reçu la mission de réaliser une série d’entrevues de ses membres à des fins de promotion. Dont acte.

Le tournage unique a eu lieu en septembre. Bien que les deux premières vidéos soient sorties dans le courant de l’automne, je n’en rends compte ici qu’aujourd’hui, faute de temps et d’énergie à consacrer à ma propre promotion. Les clients et la bûche de Noël d’abord ;~) Ces trois capsules sont néanmoins publiées depuis belle lurette sur la page Youtube de l’AQT :

Bilan de l’opération: deux heures de tournage, trois jours de montage, un peu de communication et de suivi pour lier le tout, et voilà ! Pour un budget très raisonnable, l’AQT valorise à la fois son action, un échantillon représentatif de ses membres, sa présence Web et elle sème en prime de jolis petits cailloux dans les moteurs de recherche :

Bienvenue à la méta-conférence #webcomlive !

webcom livePour la quatrième fois en deux ans, j’ai le plaisir d’animer aujourd’hui le webcom live, une « méta-conférence » diffusée en direct sur Internet à partir du foyer de webcom Montréal, où se rencontreront pendant toute la journée une foule d’experts et de praticiens des technologies Internet, des médias, de la communication et de l’entreprise 2.0.

Pourquoi « méta-conférence »? Parce que je ne diffuse pas la conférence comme telle — elle le sera dans quelques semaines seulement — mais un méta-discours sous forme de talk show semi-improvisé autour et, j’espère, au-delà de la conférence. Y participeront les organisateurs, commanditaires et conférenciers, bien sûr, mais aussi le public présent qui proposera, à notre micro, ses commentaires sur l’évènement.

Notre micro, en effet, puisque j’aurai le plaisir de le partager avec Sandrine Prom Tep et Charles Prémont, deux collaborateurs de taille. C’est que je bénéficie, pour cette quatrième édition du webcom live, du soutien intellectuel et financier de deux co-producteurs dont les logos sont affichés ci-contre, soit AgentSolo et le Lien MULTIMÉDIA.

Si vous ne pouvez pas assister à webcom, vous aurez ainsi accès un un aperçu riche et spontané de ce qui s’y passe. Vous pourrez passer vos commentaires et dialoguer dans le clavardage, intervenir en nous posant des questions, voire même créer votre propre show Ustream et nous proposer d’accueillir une mini-conférence à distance d’une durée de 6 à 8 mn maximum.

Webdiffusion : Médias 2009 sur Livestream vs. W3Québec sur Ustream

C’est avec beaucoup de plaisir que je renoue, cette semaine, avec mes activités socio-professionnelles favorites. À tout seigneur, tout honneur : Yulbiz ouvrira le bal demain soir sur la terrasse de l’Hôtel Nelligan qui, parait-il, n’est plus ce qu’il était. Espérons que la météo sera plus clémente que les commentateurs de Google Maps!

Le lendemain, je retrouverai mes marques à la SAT, où j’assisterai incognito (?) à une conférence inédite sur les médias citoyens. Je ne peux évidemment pas rater un tel événement, même si ce n’est pas moi qui le webdiffuserai en direct sur Livestream. J’en profiterai pour écouter les conférenciers et réseauter sans contrainte. J’étudierai aussi de l’extérieur cette intéressante plateforme de webdiffusion qui s’appelait Mogulus jusqu’au printemps dernier. Ce changement de nom était destiné à mieux la positionner face à ses principaux rivaux, Ustream et Justin.TV, mais aux dernières nouvelles, le le pari est loin d’être gagné.

De mon côté, c’est le mois prochain que je reprendrai mon calendrier de webdiffusion associative sur Ustream. Le 14 septembre, en effet, ce sera la première soirée-conférence W3Québec de la rentrée. Consacrée au droit d’auteur sur le Web, elle se tiendra pour la première fois à la chic Station C.

Dans les jours qui suivront, j’archiverai les séquences dans un lecteur personnalisé selon le modèle initié le mois dernier au 3e Mardi de juillet, en partenariat avec Indico Communications (voir ci-dessous). Outre son côté pratique, ce type de lecteur donne une meilleure visibilité aux commanditaires qui acceptent de co-produire ces webdiffusions, participant ainsi au dynamisme local et au rayonnement international de la communauté montréalaise des communications, du Web et des nouveaux médias.

Ma première Web vidéo industrielle sur iCRIQ.com

Vous vous souvenez peut-être qu’en mars dernier, je réalisais la webdiffusion de la conférence de presse du Centre de recherche industrielle du Québec (CRIQ), qui célébrait le dixième anniversaire de sa banque d’information en ligne — le portail iCRIQ.com. Cette opération a été un franc succès et les choses n’en sont pas restées là.

Au cours des jours qui ont suivi, j’ai eu l’occasion de discuter de vidéo d’information industrielle avec les gestionnaires du portail. Il y a quelques semaines, nous concluions une entente de production Web vidéo comportant la commercialisation d’une série de forfaits allant de la capsule de base au plan de communication par épisodes. Les tarifs, très avantageux, s’échelonnent de 895 $ à 2 500 $.

J’ai le plaisir de vous présenter aujourd’hui une première capsule réalisée dans ce contexte pour l’entreprise montréalaise de produits d’entreposage Pedlex. La vidéo sera intégrée dans quelques jours à la fiche Pedlex d’iCRIQ.com et sur le site Web de pedlex. Il s’agit d’un publi-reportage d’introduction générale. J’ai dû travailler dans un esprit un peu plus publicitaire que d’habitude, mais je suis néanmoins satisfait du résultat.

Les informations contenues dans cette capsule sont factuelles et justes, en effet. La séquence centrale transmet un message pratique aux industriels, à savoir qu’il est préférable de mettre son fournisseur de systèmes d’entreposage en relation avec son architecte avant même la construction ou la rénovation d’un bâtiment. Cela permet de concevoir le meilleur système et de réaliser ainsi le meilleur investissement possible. Il ne s’agit donc pas ici de simple séduction facile, mais d’information et de partage d’expertise, deux ingrédients essentiels à toute communication Web vidéo efficace.

Pour vous renseigner sur les plans de communication Web vidéo d’iCRIQ.com, veuillez contacter le département publicitaire du portail.

3e Mardi de @jfcodere : aux sources, citoyens !

« N’accordez pas trop de crédit aux rumeurs et vérifiez par vous même. » ©amicalmant 2009

Cette captation diffusée en CC-BY-SA est constituée de neuf séquences vidéo enchainées l’une à l’autre. Utilisez les boutons de navigation situés dans les parties droite et gauche de l’image pour “zapper” plus rapidement. Si votre système le permet, utilisez le mode “HQ” qui offre une qualité d’images nettement meilleure. Voir plus bas pour plus de précisions.

Dans mon billet sur la retentissante conférence de Michelle Blanc Médias Trads versus Web 2.0 du 3e Mardi de mars dernier, j’écrivais : « J’espère que la personnalité extraordinaire de Michelle Blanc, la charge iconoclaste de son discours et l’acuité de sa vision contribueront à réveiller nos dinosaures médiatiques en voie de disparition ».

Deux mois plus tard, j’étais de retour au Daylight Factory — pas pour filmer la réplique de la FPJQ tel qu’attendu, mais celle de Jean-François Codère, un jeune dinosaure assez spécial car natif du numérique (il a débuté sa carrière il y a 10 ans au cyberquotidien Multimédium, peu de temps après que j’aie quitté le poste de rédacteur en chef), journaliste, cyberjournaliste et blogueur.

Une conférence très néo-médiatique

Pour mémoire, JFC avait lancé en mars dernier une attaque en règle contre Michelle et les «gourous du Web», accusés de jeter le bébé avec l’eau du bain afin de satisfaire leurs intérêts commerciaux. Il replongeait dans l’eau chaude quelques jours plus tard en minimisant l’importance des médias sociaux. Puis il donnait cette conférence au Third Tuesday Montréal avant d’enfoncer le clou dans un billet de précisions sur son blogue.

Co-production: Christian Aubry et Michelle Sullivan Communications

La webdiffusion de cette conférence sur Ustream et sa post-production ont été en partie financées par Michelle Sullivan Communications, co-fondatrice des 3e Mardi | Third Tuesday Montréal, selon un nouveau « modèle d’affaires sociales 2.0 » que j’expérimente depuis quelques temps. Comme pour webcom, W3Québec et la CLLAP, il s’agit de minimiser les coûts au maximum grâce aux outils 2.0 et à un savoir-faire polyvalent,  puis à trouver des commanditaires ponctuels ayant un intérêt direct à ce que ces événements soient diffusés ou souhaitant faire leur part afin d’élargir leur portée. Étant partie prenante et solidaire de ces communautés, j’assume moi-même une partie du budget.

Techniquement, j’appelle cela du journalisme citoyen. Le contenu est généré par les utilisateurs, qui prennent en charge les moyens de diffusion numérique. Il ne s’agit pas ici de produire de l’opinion, mais un témoignage social, une source directe d’expression, de documentation et d’information que chacun peut utiliser comme bon lui semble, que ce soit pour son information personnelle, dans son blogue, son intranet, voire son site de médias.

Car les médias « traditionnels en mutation » peuvent également bénéficier de cet apport de contenu indépendant, y collaborer, le réutiliser, le commenter, le prolonger, comme ce fut récemment le cas à webcom. Y a-t-il là de quoi fouetter un dinosaure? ;-}

Comment le mieux présenter une heure de conférence ?

J’ai eu un long échange par courriel, ce matin, avec Sébastien Paquet à propos de la présentation de ce long enregistrement vidéo de plus de 45 minutes. Il me demandait pourquoi je  l’avais découpé en morceau et publié sur Youtube plutôt qu’ailleurs. En substance, je lui ai répondu que :

  1. Le découpage est en partie imposé par la longueur, puisque Youtube limite la durée des vidéos à 10 minutes (↓) et que l’encodage de fichiers très gros est quelque peu aléatoire sur d’autres plateformes. Par ailleurs, d’un point de vue éditorial, cela permet d’effectuer une pré-indexation sommaire des sujets couverts, d’accéder plus rapidement à une portion qui vous intéresse et de ne republier au besoin qu’un extrait précis.
  2. Le choix de Youtube repose sur les fonctionnalités de ses listes de lectures (playlists), qui enchainent les vidéos dans un lecteur à commandes visuelles dynamiques présentant la vidéo en pleine largeur. On a ainsi le meilleur sous tous les rapports : choix à la carte, visionnement linéaire, zapping de scène en scène style DVD, qualité de base et haute qualité.
  3. Avantage marginal pour les co-producteurs : si vous visionnez toute la conférence, vous verrez le court générique de fin huit fois plutôt qu’une seule ;-}

Ceci dit, je reste ouvert (même la nuit) à vos commentaires, questions ou suggestions.


(1) La limitation à 10 minutes des vidéos Youtube a été montée à 15 minutes en juillet 2010, puis totalement supprimée pour les comptes vérifiés.

webcom live Reloaded

Voici les archives finales des entrevues du webcom (presque) live de mai 2009. Vous êtes cordialement invités à les visionner, les partager avec vos collègues et amis, les commenter et même à les republier sur vos médias sociaux préférés ;-}

webcom LiveVoici les archives finales des entrevues du webcom (presque) live de mai 2009 par Sandrine Prom Tep, Vallier Lapierre, Charles Prémont et moi-même. Vous êtes cordialement invité(e) à les visionner, les partager avec vos collègues et amis, les commenter et même à les republier sur vos médias [sociaux] préférés. Si possible, activez le mode plein écran.

Merci à webcom Montréal, NVI, Turbulent, Direction informatique et Le Lien MULTIMÉDIA qui ont rendu cette production possible. Rendez-vous est pris pour le webcom de novembre, avec cette fois la promesse publique et formelle d’un megabit/seconde de bande passante dédiée et non filtrée ;}

Liens complémentaires

José Navas prend position sur le financement des arts

[lang_fr]Tandis que s’ouvrent, aujourd’hui-même à Montréal, les Seconds États généraux de la danse professionnelle du Québec, le chorégraphe José Navas/Compagnie Flak prend position, expliquant combien il est dangereux de sous-estimer l’importance de l’investissement public en culture, pas seulement pour les artistes mais pour la société tout entière.

[/lang_fr][lang_en]Just as the Second Estates General of Professional Dance in Quebec begins in Montreal, José Navas — artistic director and choreographer of Compagnie Flak — takes a position explaining how dangerous it is to under-estimate the necessity of public investment in culture — not only for artists but for the whole society.

[/lang_en]

Prise 2 pour le vidéoblogue de José Navas/Compagnie Flak

Après une rapide tournée en Allemagne avec la Compagnie Flak, José Navas, danseur et chorégraphe québécois d’origine vénézuélienne, était de retour cette semaine à Montréal. En compagnie de Laurence Wegscheider, responsable du marketing et des communications, nous avons fait le point sur le travail restant à faire avant de mettre à l’eau le prochain véhicule du chorégraphe sur Flak.org.

Après une rapide tournée en Allemagne avec la Compagnie Flak, José Navas, danseur  et chorégraphe québécois d’origine vénézuélienne, était de retour cette semaine à Montréal.

En compagnie de Laurence Wegscheider, responsable du marketing et des communications, nous avons fait le point sur le travail restant à faire avant de mettre à l’eau le prochain véhicule du chorégraphe sur Flak.org.  Comme je le mentionnais récemment, fini le Flash ! Il s’agira d’un vidéoblogue relax à saveur intimiste, artistique, conviviale et didactique.

Voici donc la seconde capsule vidéo qui traite cette fois de méditation en mouvement. La danse offre en effet une expérience à la fois physique et sensible proche du Tai chi chuan , du Qi Gong, du shintaïdo et de plusieurs autres pratiques spirituelles orientales. C’est donc à un mariage du corps et de l’esprit que José nous convie dans ses trois dernières pièces, Portable Dances, Anatomies et « S », tout simplement.

Retour à chaud sur la conférence de presse virtuelle d’iCRIQ.com

Après avoir diffusé à deux reprises, via Ustream et sur le site iCRIQ.com, la conférence de presse du Centre de recherche industrielle du Québec citée précédemment, j’ai pris quelques notes vidéo sur mon propre canal. J’y livre à chaud mon retour d’expérience que je résume et complète ici ce matin.

Après avoir diffusé à deux reprises, via Ustream et sur le site iCRIQ.com, la conférence de presse du Centre de recherche industrielle du Québec citée précédemment, j’ai pris quelques notes vidéo sur mon propre canal. J’y livre à chaud mon retour d’expérience que je résume et complète ici ce matin.

1 – Mission accomplie !

Il n’y a pas eu 2 000 webspectateurs à cette conférence de presse virtuelle, mais une bonne soixantaine de journalistes, industriels et partenaires du CRIQ, tous très heureux de pouvoir assister aux présentations en direct sans s’être déplacés. Cela représentait tout de même trois fois plus de personnes en ligne que dans la salle !

Le clavardage a marché très fort et Patrice-Guy Martin, rédacteur en chef de Direction informatique, nous a honoré d’une présence très active, posant à lui tout seul une bonne douzaine de questions fort précises, comme s’il avait été dans la salle ou presque. De même, son collègue Éric Cloutier (Gestion Logistique) s’est déclaré à la fin très favorablement impressionné par cette conférence de presse virtuelle. J’ai bien hâte d’en lire plus !

Mise à jour: voici l’article publié par Direction Informatique le 30 mars 2009

2 – Peut encore mieux faire et le fera !

On apprend de ses erreurs. Celle que j’ai commise hier, c’est de ne pas me faire assister pour la gestion en temps réel des enregistrements à archiver en ligne. Ne maîtrisant pas le déroulement de la conférence, j’ai été incapable d’arrêter et de démarrer les enregistrements lors des changements d’orateur sans abandonner ma caméra. Du coup, j’ai dû passer une heure, après la conférence, à rejouer la cassette sur ma caméra afin d’en archiver les séquences correctement.

La prochaine fois, je proposerai à mon client de me « prêter » un collaborateur supplémentaire à cette fin, j’engagerai moi-même un collaborateur ou bien je prévoirai d’office le temps nécessaire à l’encodage des séquences après la conférence. Si un délai de deux heures est acceptable, la seconde solution m’apparait d’ailleurs comme la meilleure et la moins risquée.

3 – La conférence de presse en ligne : une voie d’avenir

De nos jours, le temps de chacun est compté et les professionnels des relations publiques ne me démentiront pas si j’affirme qu’il est de plus en plus difficile d’attirer un nombre substantiel de journalistes à ce genre d’événement. La webdiffusion associée au clavardage (voire au retour vidéo par webcam) est un puissant outil pour contourner ce problème.

  1. N’ayant pas nécessairement à se déplacer, les journalistes auront quand même accès à de l’information de première main et le loisir de poser autant de questions qu’ils le désirent.
  2. L’archivage leur permettra d’y retourner le lendemain ou la semaine suivante. Des blogueurs pourront utiliser ces sources vidéo afin de bâtir leurs propres analyses. La possibilité d’intégrer gratuitement ces séquences sources aux blogues et sites médias favorisera, de plus, une meilleure information des «  citoyinternautes »; au-delà des comptes-rendus et analyse des uns et des autres, ils auront la possibilité de se faire leur propre opinion en remontant à la source.

4 – À quand une plateforme québécoise encore meilleure que Ustream ?

Ustream n’est pas une vache sacrée. C’est un outil permettant de réaliser des objets de communication interactive modernes et efficaces à des coups dérisoires.

Cet outil a cependant des défauts, les principaux étant l’unilinguisme anglais et le fait qu’il s’agisse d’un service américain. Ses performances qualitatives sont également limitées et son modèle d’affaires basé sur l’incrustation de bandeaux publicitaires optionnels au bas de la vidéo peut s’avérer irritant. Cependant :

  1. Who cares? Le problème du monolinguisme anglais de cette plateforme n’est pas rédhibitoire en soi puisque vous pouvez l’intégrer de façon transparente dans votre propre environnement. C’est ce que le CRIQ a fait en communiquant l’adresse de son propre site plutôt que celle de son canal Ustream.
  2. Les performances ont beau être limitées, elles apparaitront très suffisantes à de nombreuses PME et autres sociétés d’État plus soucieuses de servir les citoyens que de dilapider leurs impôts.
  3. Idem pour la publicité : ce n’est pas trop gênant, surtout si cela vous évite de payer de gros frais de gestion applicative et de bande passante.
  4. Les entreprises québécoises ne se gênent pas pour exporter leurs produits offrant une meilleur rapport qualité/prix que ceux fabriqués à l’étranger. De la même manière, qui, sérieusement, au Québec, s’empêche d’utiliser un produit étranger parfaitement adapté à ses besoins ?

À mon sens, c’est actuellement le cas d’une plateforme de webdiffusion participative comme Ustream, qui n’a pas d’équivalent au Québec, ni même au Canada.

Pour répondre à une critique anonyme formulée dans la session de clavardage d’hier matin, je dirais qu’au lieu de critiquer ceux qui utilisent ce service afin d’atteindre légitimement leurs objectifs d’affaires, on ferait mieux de mobiliser nos énergies afin d’offrir une solution aussi bonne, voire meilleure, made in Québec.  Cela me ferait plaisir de l’utiliser au profit des entreprises me demandant de les aider à rendre leur communication en ligne plus efficace et innovante. J’espère qu’il en sera question lors de la conférence sur les nouveaux modèles d’affaires qui figure au programme de Montréal Web Vidéo 2009, le mois prochain :-}

5 – Les organisations sont ou seront bientôt prêtes

Enfin, je suis très heureux d’avoir travaillé avec la sympathique équipe d’iCRIQ.com, qui a démontrée hier une ouverture exceptionnelle aux nouvelles façons de communiquer en ligne avec ses communautés cibles. C’est remarquable et significatif de la part d’une organisation gouvernementale, celles-ci ayant généralement tendance à être conservatrices à ce chapitre jusqu’à ce que les processus soient parfaitement établis et contrôlés.

Il est vrai qu’iCRIQ.com est une cellule dynamique et que l’innovation figure au cœur de la mission. Souhaitons que cette expérience montre la voie à de nombreuses organisations publiques et privées. Je remercie notamment Sylvie Filion, directrice de l’équipe iCRIQ, Ann Miller, qui a magistralement tenu le fort du clavardage, et Christiane Dupont, conseillère en communication du CRIQ, qui a été ma première interlocutrice dans ce dossier et qui s’est montrée, elle aussi, très réceptive à ces concepts innovants.

L'équipe d'iCRIQ.com
L’équipe d’iCRIQ.com