Velirium.com remporte un Prix Coup d’Éclat 2013!

Hourra! La semaine dernière, le site VELIRIUM de GESTEV remportait le Prix Coup d’Éclat 2013 dans la catégorie Site Web et stratégie. Comme le soulignait Sylvain Bouchard le mois dernier, nous avons quelque raison d’être fiers de ce succès puisque notre équipe Web de Québec a signé le design et la plate-forme du site.

Remise des Prix Éclat 2013

Hourra! La semaine dernière, le site VELIRIUM de GESTEV remportait le Prix Coup d’Éclat 2013 dans la catégorie Site Web et stratégie. Comme le soulignait Sylvain Bouchard le mois dernier, nous avons quelque raison d’être fiers de ce succès puisque notre équipe Web de Québec a signé le design et la plate-forme du site.

Or, en reprise dans info-culture.biz, voici ce qu’en disait la vidéo projetée pendant la remise du prix, que vous pouvez visionner plus bas:

« La décision de créer un nouveau site Web « responsive design » a été un choix judicieux pour cet événement. Avec cette technologie, le public a pu suivre la programmation, les résultats et les dernières nouvelles en temps réel. Grâce à son esthétisme et son ergonomie remarquable, le site Web de Vélirium offre une expérience de qualité aux internautes. »

http://www.youtube.com/watch?v=Q2ehSLVH6cg

Entrevue-minute avec Mélissa Langlais (GESTEV)

Mélissa Langlais est spécialiste web et médias sociaux chez GESTEV et responsable du projet VÉLIRIUM. C’est principalement avec elle que notre équipe a collaboré lors de la conception et du développement du site. Nous avons recueilli, cette semaine, ses commentaires que voici.

SAVOIR-FAIRE LINUX – Mélissa, as-tu des choses à ajouter sur le choix du jury, à propos de ce qui a retenu son attention et qui vous a permis de vous démarquer des autres finalistes dans cette catégorie ?

Je crois que ce qui a fait toute la différence, c’est que notre site web était responsive, adaptatif. On est rendu là. Ceux qui ne sont pas encore sur ce type de plate-forme et qui travaillent encore avec un site mobile dédoublent le travail. Nous, on a compris avant d’autres l’importance que prennent les appareils mobiles et les tablettes — surtout dans le cadre d’un événement extérieur, puisque la majorité de nos visiteurs naviguent sur le site en temps réel, à partir de leur mobile.

Quels sont les autres aspects qui vous ont permis d’atteindre vos objectifs d’affaires auprès du public, des, médias, des commanditaires et autres partenaires de l’événement?

Logo du Vélirium 2013On ne peut pas ignorer l’ergonomie du site Web. À ce chapitre, on a pris soin de mettre de l’avant l’action de l’événement au maximum — autant les compétitions que les « partys » et les nouveautés — et à y laisser aussi de la place pour nos partenaires. C’est tout un défi! Enfin, le Vélirium est un événement qui revient à chaque année depuis longtemps. Il nous apparaît donc nécessaire de travailler avec des gens comme vous afin de réinventer la présentation de ce contenu récurrent.

Un beau défi pour nous aussi! Justement, pour conclure, as-tu quelque chose à ajouter sur ce qui rend la collaboration entre GESTEV et Savoir-faire Linux | L3i efficace, fructueuse et, j’ose le croire, agréable?

Le premier point que je voudrais souligner, c’est que sans SFL/L3i, on aurait probablement connu l’existence du responsive trop tard… ou pas assez en avance! Certes, on commence à en entendre parler de plus en plus, mais nous, cela fait déjà un an qu’on évalue la technologie et que l’on travaille dans ce sens.

De plus, je crois que nous avons une belle chimie. Nous sommes tous des passionnés, ce qui nous mène à toujours pousser plus loin le produit afin d’offrir une expérience agréable en tous points à nos visiteurs.

Sylvain Bouchard et l’équipe des Verts remportent le Iron Web 2013!

Vidéo: les leaders des « Rouges » et des « Verts », les 2 équipes de hackers du Iron Web 2013, expliquent leur vision de cette expérience à laquelle ils participaient tous les deux pour la seconde fois.

Chez Savoir-faire Linux, nous pensons que ce n’est pas un hasard si nous sommes associés, pour la deuxième année consécutive, à l’équipe gagnante du Iron Web. L’objectif de cette compétition de 3 jours qui se tient chaque année en parallèle avec la conférence Le Web à Québec (1), c’est bien sûr le développement en 72 heures chrono d’une application Web à partir des données ouvertes de la Ville de Québec. Cependant, tous les participants finissent par décrocher la vraie récompense : une expérience hautement stimulante qui met sous pression des imaginations et des talents diversifiés, en même temps qu’un défi personnel. Un plaisir que nos équipes connaissent bien, même si les horaires de travail sont habituellement beaucoup plus raisonnables! 🙂

Dans la vidéo présentée ci-dessus, les leaders des « Rouges » et des « Verts » expliquent leur vision de cette expérience à laquelle ils participaient tous les deux pour la seconde fois. L’an dernier, ils étaient tous deux dans l’équipe des « Rouges » qui n’avaient pas gagné. En 2013, ils se retrouvaient face à face et savaient donc que la victoire de l’un allait, cette fois, entraîner la défaite de l’autre. Mais au fond, peu importe.

Pour Gregory Sanderson, le défi personnel que représente ce marathon créatif est rehaussé par la satisfaction d’utiliser le plein potentiel des logiciels libres afin de réaliser un projet qui bénéficie à l’ensemble de la communauté sociale. Même s’il n’a pas remporté la victoire, il est vrai que le travail de son équipe n’est pas perdu puisque son code est accessible et peut être librement réutilisé, tout comme celui du site auquel la victoire a été accordé et dont tous les citoyens de la Ville de Québec pourront immédiatement bénéficier.

Sylvain Bouchard, leader de l'équipe des Verts qui a remporté le Iron Web 2013Quant à Sylvain Bouchard, développeur et chargé de projets chez Savoir-faire Linux, il pense avoir contribué à donner à son métier ses lettres de noblesse en participant à ce concours. « Quand je me regarde dans le miroir, dit-il, je ne vois pas un programmeur. Je vois quelqu’un qui aime rendre service aux gens, se rendre utile et faire en sorte que les gens soient heureux autour de lui. La programmation, ce n’est qu’un des moyens qui me permet d’arriver à cette fin-là. C’est juste qu’il s’avère que c’est celui pour lequel je suis payé. »

Ce métier, en effet, ce n’est pas qu’un gagne-pain. C’est avant tout une pratique intellectuelle qui se fonde sur des valeurs et qui vise des objectifs supérieurs aux intérêts d’un seul individu. Merci aux dix programmeurs qui ont participé à cette troisième édition du IronWeb afin de nous le rappeler.

Pistes complémentaires