Sébastien Landry en tournage chez Savoir-faire Linux : communautés, grands espaces et plafonds hauts…

Pour les besoins d’une scène de son film, Sébastien Landry cherchait un bureau avec une belle atmosphère, un espace ouvert et des bureaux vitrés. Il a trouvé tout cela chez Savoir-faire Linux.

À l’été 2012, le réalisateur Sébastien Landry réalisait son premier long métrage, Un parallèle plus tard, qui est sorti en salle cet automne et dont l’action principale se déroule à Havre-Saint-Pierre, sur la Côte-Nord du Québec. L’une des premières scènes se passe dans une entreprise de sécurité informatique montréalaise. Le jeune cinéaste cherchait donc un bureau moderne, chaleureux, avec une belle lumière, un grand espace ouvert et des bureaux largement vitrés.

La vidéo est sous-titrée en français cc 

Le partage et l’entraide sont des valeurs communes à la culture de l’open-source et des jeunes créateurs qui, comme Sébastien, ont recours au pouvoir des communautés afin de réaliser leurs rêves. Malgré le dérangement que cela pouvait susciter en pleine semaine, nous avons donc accueilli l’équipe du film à bras « ouverts ».

À la fin de la journée de tournage, j’ai demandé à Sébastien de me parler de son expérience de socio-financement et des raisons pour lesquelles il avait choisi notre bureau comme décor naturel.

Un MeetUp Python pour les codeurs de VFX, d’animations 3D et de jeux vidéo

Meetup Python. Ce nouvel événement vise à réunir les développeurs de l’industrie dans une communauté de pratique Python spécifique à leurs problématiques.

Montréal est l’une des grandes capitales de l’industrie du divertissement numérique et les principaux cadriciels de développement de cette industrie reposent, aujourd’hui, sur le langage Python. C’est à partir de ce constat que l’École des arts numériques, de l’animation et du design (NAD), en partenariat avec Savoir-faire Linux, a conçu Meetup Python. Ce nouvel événement vise à réunir les développeurs de l’industrie dans une communauté de pratique Python spécifique à leurs problématiques.

Vendredi dernier, quelques heures avant que les rues de Montréal ne soient livrées aux sorcières, vampires et morts-vivants, j’ai rencontré Christian Beauchesne, directeur du service aux entreprises et des projets spéciaux du NAD, qui m’en a présenté les grandes lignes, résumées cette vidéo :

Lors du premier Meetup qui aura lieu le 17 novembre 2014 à partir de 18h, dans les locaux de l’école, Éric Thivierge (Hybride Technologies) et Dave Lajoie (Digital District) présenteront leurs techniques et méthodes de travail dans ces domaines, tandis que Jordì Rìera (Savoir-faire Linux) donnera un aperçu des dernières nouveautés en matière d’utilisation de Python dans l’industrie du divertissement numérique.

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Tout sur le Salon des logiciels libres du Québec, le grand événement technologique de la rentrée

Logo S2LQLa deuxième édition du Salon du Logiciel Libre et des technologies ouvertes du Québec (www.s2lq.com) a lieu le 17 septembre 2014 à l’Espace Dalhousie de Québec. Ce sera une occasion unique d’échanger entre gestionnaires et professionnels des technologies numériques s’intéressant, de près ou de loin, à ce « carburant de l’économie du XXIème siècle » qu’est aujourd’hui le logiciel libre.

Pour votre information, Savoir-faire Linux sera présent à titre de commanditaire Platine, mais aussi d’exposant sur trois kiosques que nous co-animerons avec nos partenaires :

BlueMindAlfrescoRed Hat

Nous contribuerons directement au programme à deux reprises :

Par ailleurs, nous serons très heureux d’écouter deux de nos clients présenter, dans la salle Savoir-faire Linux, leurs approches des logiciels libres et des technologies ouvertes au cours de ces retours d’expérience :

Six vidéos de l’APELL

Au cours du dernier mois, nous avons collaboré avec l’Association des professionnels en logiciels libres (APELL) afin de produire et diffuser cette série de six vidéos qui éclairent les enjeux du salon sous différents angles :

Le Salon des logiciels libres du Québec 2014

Montréal, 31 juillet 2014 – Laurent Bounin présente la Salon des logiciels libres et des technologies ouvertes du Québec (S2LQ 2014), qui aura lieu à l’Espace Dalhousie du Vieux-Port de Québec le 17 septembre prochain. Cette année, le Centre d’expertise en logiciel libre du gouvernement du Québec est très impliqué dans l’organisation de ce salon qui bénéficie également de la participation d’importants éditeurs comme Red Hat, Suze et Microsoft, et de fournisseurs de services en logiciels libres présents au Québec depuis de nombreuses années, tels que Savoir-faire Linux, Gestion-ressources et Doculibre.

Informations complémentaires
⦿ Salon des logiciels libres et des technologies ouvertes du Québec

L’industrie du logiciel libre au S2LQ 2014

Montréal, 8 août 2014 – Éric Bégin, président de inLibro, une entreprise de Montréal spécialisée en systèmes intégrés de gestion de bibliothèque sous licence libre, explique l’intérêt d’assister au salon du logiciel libre du Québec (S2LQ), le 17 octobre prochain, afin de connaître l’écosystème du libre au Québec et de pouvoir ainsi faire profiter nos institutions de services informatiques hautement professionnels et personnalisés.

Informations complémentaires
⦿ Koha et DSpace : La gestion de l’information propulsée le libre
⦿ InLibro
⦿ Koha
⦿ Dspace

Why Is Microsoft a sponsor of S2LQ?

La vidéo est sous-titrée en français ➚  cc  ➚ English subtitles available

Cyberespace, 27 août 2014 – Keith Loo est meneur de stratégie pour les plateformes ouvertes de Microsoft. Dans cette courte entrevue, il explique pourquoi Microsoft a décidé de commanditer cette année le Salon des logiciels libres du Québec.

Informations complémentaires
⦿ Microsoft Open technologies

Apprenez à bien dormir au S2LQ 2014

Montréal, 19 août 2014 – Dominique Derrier, responsable de la sécurité des systèmes d’information (RSSI) chez Linkbynet, explique l’intérêt du Salon des logiciels libres du Québec, qui réunira tous les acteurs québécois de l’open source professionnel à Québec le 17 septembre, et comment il compte nous y apprendre à bien dormir une fois que nous avons fait le choix d’implanter une infrastructure en logiciels libres.

Informations complémentaires
⦿ J’ai basculé en Open Source… et je dors bien (S2LQ)

Vers le futur avec LibreOffice

Montréal, 20 août 2014 – Philippe Kalab, CEO de Collabora, sera présent au S2LQ pour y présenter une version professionnelle de LibreOffice aux entreprises de services en logiciel libre qui y seront présente ainsi qu’aux représentants des gouvernements et de l’industrie.
Informations complémentaires
⦿ LibreOffice – la suite bureautique du futur (S2LQ)

Découvrez l’expertise québécoise en logiciel libre

https://www.youtube.com/watch?SEN-D5SKXEM

Montréal, 4 septembre 2014 – Une autre version de notre entrevue avec Christophe Villemer, qui développe le contexte particulier du Salon des logiciels libres du Québec ainsi que la richesse et la diversité des expertises qui y seront présentées.

Les demandes de permission inexpliquées des applications Android doivent-elles nous inquiéter?

Régulièrement, mon système d’exploitation mobile m’informe qu’une application n’a pas encore assez de permissions. Est-ce dangereux, Ingénieur?

Capture d'écran (Scrabble)J’ai plus de 120 applications installées sur mon téléphone intelligent. Oui, je sais, c’est beaucoup, d’autant que certaines disposent d’une foule de permissions. Régulièrement, mon système d’exploitation mobile m’informe que l’une d’entre elles n’en a pas encore assez. Il lui en faut plus, mais l’éditeur ne dit pas pourquoi. À première vue, cela me semble dangereux, mais qu’en est-il vraiment?

Pour le savoir, j’ai discuté cette semaine avec Émeric Vigier et Alexandre Lision, deux ingénieurs logiciels de Savoir-faire Linux impliqués dans plusieurs projets d’applications mobiles, dont SFLphone pour Android, actuellement en phase bêta.


Christian – Récemment, j’ai envoyé un courriel au développeur d’un jeu de Scrabble dont la mise à jour réclamait cette nouvelle permission : « Accès aux images, vidéos et fichiers audio stockés sur l’appareil, ainsi que sur un support de stockage externe. » Je voulais savoir pourquoi. Il m’a répondu que « le systeme Android ne permet pas un contrôle très fin des permissions. La seule action potentielle visée par cette permission consiste à enregistrer (par un appui long sur le bouton « Mélanger ») une capture d’écran qui peut m’être envoyée par mail à des fins de débogage. » Puis-je le croire sur parole? Et pourquoi ne pas l’expliquer clairement dès le départ?

Émeric VigierÉmeric Vigier – C’est une réponse sensée. Aujourd’hui, la plupart des applications mobiles demandent également l’accès aux photos et au système de fichiers afin de pouvoir changer un avatar, créer un fond d’écran, etc. S’il s’agit d’une application en laquelle tu avais confiance auparavant et qui a bien fonctionné jusqu’ici, la nouvelle autorisation correspond probablement à l’ajout d’une fonctionnalité.

Aurais-tu des exemples d’applications qui t’ont trahi ou qui ont vendu des photos de nus présentes sur ton téléphone? (rires) Les applications d’ordinateur n’ont pas besoin d’autorisation pour accéder à ces données et personne ne trouve cela inacceptable.

Alexandre LisionAlexandre LisionJe suis d’accord avec Émeric. Les nouvelles autorisations ne sont pas forcément injustifiées et correspondent souvent à l’ajout de fonctionnalités. Le NFC ou la nouvelle génération de composants Bluetooth Low Energy, par exemple, offrent de nouvelles possibilités qui se traduisent par de nouvelles fonctionnalités et, donc, de nouvelles permissions. Google a le mérite de lister clairement à l’utilisateur la liste des autorisations avant le téléchargement. Et puis les permissions ont été grandement affinées, regarde la liste.

Alors, certes, il est toujours possible qu’une permission soit détournée de son usage premier, mais si tu pars de ce principe, tu ne fais plus grand chose avec ton téléphone. Les permissions pourraient être encore plus affinées (par exemple ne donner accès qu’à un dossier de photo spécifique au lieu de tous) mais cela alourdirait considérablement la configuration d’une application. Et la liste de permissions ressemblerait aux conditions d’utilisations d’iTunes, que personne ne lit ou à peu près.

ChristianD’accord. Reste qu’une saine transparence de la part des développeurs pourrait s’inscrire parmi les bonnes pratiques de l’industrie, non? Si les développeurs prenaient la peine d’informer le public des objectifs précis visés par chaque permission, ils informeraient et éduquerait le public qui, actuellement, ne s’en soucie guère. Cette divulgation constituerait aussi un engagement explicite de leur part de ne pas dépasser un périmètre d’action donné. Cela permettrait à des geeks, des médias ou des associations de vérifier qu’ils sont effectivement de bonne foi. En cas d’activité non documentée, le public finirait par le savoir. Bref, cette communication ouverte permettrait de maintenir un lien bidirectionnel de confiance et d’imputabilité entre les deux parties.

Émeric – C’est un vœu pieu, mais à mon avis idéaliste. Rien n’empêcherait un hacker de programmer une application réalisant une fonction de retouche d’image et documentant le fait qu’il a besoin d’accéder à tes images pour le faire. Tu l’accepterais et, en arrière-plan, l’application ferait de la reconnaissance d’image sur tes photos pour potentiellement reconnaître (feu) Oussama Ben Laden et transmettre l’info au gouvernement américain. Aucune divulgation volontaire ne pourrait empêcher les applications frauduleuses.

AlexandreIl faut quand même noter que Facebook s’est lancé dans l’explication de chacune des permissions que son application Android demande. Je n’ai pas d’autre exemple en tête, mais je sais que certains développeurs Android donnent la raison des permissions requises par leur application sur le Play Store. Au final, l’utilisateur devient quand même responsable à partir du moment où il clique sur le bouton « Accepter ». C’est à lui d’évaluer les risques qu’il est prêt a prendre.

En cas d’abus, un utilisateur geek aura évidemment plus de chance de tirer la sonnette d’alarme et de propager l’info. De nombreux outils permettent de vérifier le fonctionnement d’une application – wireshark pour la capture du traffic réseau, android debug bridge pour afficher la console d’événement du téléphone dans un terminal, etc. Les moins geeks auront intérêt à n’installer que des applications bien notées dans le Play Store ou provenant d’une source sûre. Il est en revanche beaucoup plus dangereux d’installer une application téléchargée sur un site inconnu et recommandée par personne, car il est peu probable qu’elle soit passée par un quelconque processus de validation.

ChristianÀ cet égard, est-ce que les utilisateurs de iPhone sont mieux protégés que ceux d’Android?

Émeric – Les dernières versions d’Android sont beaucoup mieux protégés que les précédentes. Le problème, c’est que très peu d’utilisateurs ont la dernière version, car le travail de mise à jour est dévolu au manufacturier de l’appareil et que celui-ci ne fournit que rarement cet effort lorsqu’il s’agit de téléphones bon marché.

Avec iOS, c’est différent. Apple fournit le matériel ET le logiciel. Ils ont infiniment moins de modèles différents à maintenir. C’est ainsi que Tim Cook peut se vanter que 90 % des utilisateurs d’iPhone ont la dernière version. Et c’est en ce sens qu’ils sont mieux protégés que les possesseurs d’Android.

D’un autre côté, le modèle « Google et Apple contrôlent tout » n’est pas mieux. Il faut bien comprendre que dans tous les cas, même si tu n’installes aucune application, tes données personnelles seront quand même accessibles par le constructeur (Apple, Samsung, etc.), donc par un certain nombre d’employés, de partenaires ou d’organisations. [NDLR: voir à ce sujet les conjectures récentes de Jonathan Zdziarski sur iOs]

Le dernier paragraphe de cet article propose que les utilisateurs d’Android puissent activer ou désactiver chacune des permissions de leurs applications. Cela donnerait pour sûr du travail aux développeurs qui devraient s’assurer que la leur fonctionne dans de nombreuses configurations différentes. Mais cela pourrait répondre efficacement à tes craintes.

AlexandreIl faut aussi tenir compte des réactions humaines. Avec Apple, tu ne découvres pas les permissions requises lors de l’installation de l’application, mais pendant son utilisation. Tu peux alors en refuser certaines, mais le fait est que l’utilisateur est mis devant le fait accompli, ce qui peut avoir un effet plus pernicieux. Au lieu de s’interroger sur la logique de l’application ou sur la crédibilité du développeur, on va souvent se dire&nbsp: « Bah! À quoi bon m’inquiéter maintenant alors que je ne suis plus qu’à un clic de ce que je veux faire! ».

Mais, comme l’indique Émeric, Apple a démontré que l’on peut utiliser une application de façon partielle, tant et aussi longtemps que les permissions ne sont pas interdépendantes. Android adopte d’ailleurs également ce système sur certains points sensibles, comme la géolocalisation ou l’activation du Bluetooth, par exemple.

Émeric – Blackberry OS 10 (BB10) a un fonctionnement similaire : l’utilisateur peut activer et désactiver les autorisations de chaque application de manière précise. Evidemment, s’il désactive toutes les autorisations requises, il y a peu de chance que l’application fonctionne correctement. Quant à Firefox OS, je n’ai pas encore eu l’occasion de le manipuler mais j’ai l’impression, d’après ce que je vois ici, qu’il a un fonctionnement plus proche d’Android sur ce
point.

  • Dans la société hyperconnectée d’aujourd’hui, sans voir le mal partout ni renoncer au téléphone intelligent, il est préférable d’être conscient des risques qui l’accompagnent et de les maîtriser.
  • Ainsi, tout effort visant à mieux informer le public, à l’éduquer aux aspects techniques de la mobilité numérique et à lui donner plus de contrôle sur les options de confidentialité représente, à mon avis, un pas dans la bonne direction.
  • Même si cela complique les choses en fragmentant l’écosystème, le fait d’avoir le choix entre plusieurs plate-formes permet de choisir en connaissance de cause celle dont l’approche nous convient le mieux.

Vitrine technologique OpenStack à Québec avec iWeb, Red Hat et Savoir-faire Linux

Savoir-faire Linux présente à Québec, le 3 juin, avec Red Hat et l’hébergeur iWeb, une vitrine technologique intitulée OpenStack – la solution infonuagique libre incontournable: stratégie et déploiements.

Deux mois après notre séminaire OpenStack de Montréal, Savoir-faire Linux présente à Québec, le 3 juin, en partenariat avec Red Hat et l’hébergeur iWeb, une nouvelle vitrine technologique intitulée OpenStack – la solution infonuagique libre incontournable: stratégie et déploiements.

Il y a deux semaines, le sommet OpenStack d’Atlanta réunissait plus de 4 500 personnes venues du monde entier. Avec des centaines de milliers de serveurs pilotés dans le monde et plus de 9000 contributeurs, force est de constater qu’OpenStack est réellement devenue la plate-forme de référence en matière de solution infonuagique, indépendamment du caractère open source ou propriétaire des produits proposés.

Outre la présentation supplémentaire de Red Hat, qui couvre de son expertise l’ensemble du périmètre lié au déploiement d’une infrastructure-service OpenStack, les deux présentations originales ont donc été bonifiées à la lumière des récents développements.

À l’issue de cette matinée bien remplie, nous souhaitons que les participants soient en mesure d’évaluer clairement les principaux enjeux liés à OpenStack, ce que cette technologie peut apporter à leur organisation et qu’ils disposent de pistes de solutions concrètes permettant de la mettre en œuvre. Cette activité est ouverte à tous sur inscription préalable à partir du site de la Vitrine technologique du Centre de services partagés du Québec.

Réservez SVP

Solutions Linux: le savoir-faire canadien à Paris

Cette année, Savoir-faire Linux sera présent en force au grand salon européen dédié à Linux et aux logiciels libres, Solutions libres et Open Source, qui a lieu à Paris-La Défense les 20 et 21 mai.

solutions-linuxSavoir-faire Linux sera présent en force, cette année, au grand salon européen dédié à Linux et aux logiciels libres, Solutions libres et Open Source, qui a lieu à Paris-La Défense les 20 et 21 mai prochains. Nos experts participeront à plusieurs activités * et nous tiendrons salon au kiosque D29.

En pleine croissance, ayant un important client à Paris ainsi que plusieurs clients et partenaires en Europe, notre entreprise prépare l’ouverture prochaine de son bureau européen. Nous profiterons donc de ce grand rendez-vous annuel des communautés et entreprises du Libre pour présenter nos expertises et rencontrer les acteurs européens intéressés par notre offre exceptionnelle.

Savoir-faire Linux, architectes d’un monde Libre, c’est en 2014 plus de 100 professionnels dédiés à l’ingénierie, à l’intégration, à la formation et à l’accompagnement dans tous les secteurs du logiciel libre et de l’open-source, de Linux embarqué aux solutions d’entreprise en passant par les infrastructures, le cloud, le mobile et le soutien technique. C’est aussi une entreprise nord américaine hautement professionnelle, certifiée ISO-9001 et ISO-14001, utilisant des méthodologies de développement agile efficaces et assurant un contrôle qualité rigoureux.

VENEZ NOUS RENCONTRER AU SALON!

Cyrille Béraud

Cyrille BéraudCyrille Béraud est président de Savoir-faire Linux. Pionnier du logiciel libre au Québec, il défend depuis deux décennies le choix rationnel et nécessaire des logiciels libres sur toutes les tribunes, notamment en tant que président de la Fédération québécoise des communautés et industries du Libre (FQCIL).

 

Christophe Villemer

Christophe VillemerAncien CIO de l’Agence universitaire de la Francophonie, Christophe Villemer a travaillé dans le secteur de la coopération internationale et du développement avant de devenir vice-président exécutif de Savoir-faire Linux en 2009. Très impliqué dans la promotion des technologies ouvertes, il siège également au Conseil d’administration de l’Université du Québec a Montréal (UQÀM). * Cycle Éducation

Anick Tardif

Anick TardifAnick est chargée de projet senior, directrice du bureau de Québec de Savoir-faire Linux et spécialiste en solutions logicielles libres requérant l’utilisation de systèmes de gestion de contenus (CMS). Diplômée en communication publique et Scrum Master certifiée, Anick détient une grande expertise dans la charge de projet web PHP/Drupal, PHP/WordPress, Python/Plone et Python/Django.

 

Richard McGravie

Richard McGravieRichard est directeur des Solutions industrielles de Savoir-faire Linux. Auparavant, il a développé des solutions personnalisées de réseautique pour le transport aérien et obtenu plusieurs brevets dans les domaines de la vidéoconférence et des marchés d’entreprise. Puis il s’est engagé dans l’open-source, jouant un rôle actif dans les communautés Asterisk et OpenWrt. * Révolution mobile

Jonathan Le Lous

Jonathan Le LousDirecteur des offres et meneur de pratique infonuagique chez Savoir-faire Linux, Jonathan a dirigé auparavant la R&D d’Alter Way et été responsable de la grappe d’entreprises dédiée aux logiciels libres Intelli’N. Expert des stratégies de logiciels libres en entreprise, Jonathan siège au CA de l’April et est fortement engagé dans la communauté OpenStack. * Cloud libre, Cycle Éducation

 

Thibault Cohen

Thibault CohenThibault est meneur de pratique Supervision. À titre d’architecte, chef de projet ou développeur, il participe à tous les projets d’intégration de système libres de supervision de Savoir-faire Linux. La puissance des logiciels libres lui permet de concevoir sans cesse de nouvelles combinaison d’outils permettant d’assurer le contrôle et la maintenance des systèmes informatiques hétérogènes. * Cloud Libre

Belgique-Québec: notre partenariat avec OpenERP honoré par une Étoile d’Or du Cercle Esteler!

Samedi dernier, le Cercle Esteler, cercle d’affaires Belgique-Québec, rendait hommage à trois sociétés, dont Savoir-faire Linux, lors de sa neuvième soirée des « Étoiles d’Or », célébrant ainsi leurs partenariats avec des entreprises belges.

La véritable histoire de PyCon 2014-2015 à Montréal

La venue de « PyCon US » à Montréal, c’est une idée folle qui se concrétise cette semaine après quatre ans de rêve éveillé, de réflexion, de travail acharné et de collaboration. Entrevue…

La venue de « PyCon US » à Montréal, c’est une idée folle qui se concrétise cette semaine, après quatre ans de rêve éveillé, de réflexion lucide, de travail acharné et, surtout, de collaboration.

Il y a quelques semaines, j’ai voulu connaître la genèse et les principaux enjeux de cette histoire. À l’issue d’une réunion de travail chez Savoir-faire Linux, j’ai demandé à Mathieu Leduc-Hamel et Davin Baragiotta de me la raconter, ouvrant grand mes yeux et mes oreilles numériques afin de vous la partager. Voici donc toute l’histoire, en 4 vidéos d’une durée totale de 15 mn.

Il était une fois… PyCon Montréal CC BY-SA

Mathieu Leduc-Hamel, président de Montréal Python, et Davin Baragiotta (membre de l’équipe d’organisation de Montréal Python et développeur chez Savoir-faire Linux) passent en revue le programme de la conférence nord-américaine PyCon 2014 et des différentes activités qui se succèdent, du 9 au 17 avril, au Palais des Congrès de Montréal et ailleurs…

Yannick-Gingras-par-Simon-Law-cc-by-saDavin et Mathieu ouvrent leur boîte à souvenirs et nous replongent en 2010. La paternité de l’idée revient à Yannick Gingras, qui était alors président de Montréal Python et un participant assidu de PyCon, dont il fut co-président de 2011 à 2012. Le projet évolue ensuite grâce à un premier contact institutionnel du côté de Montréal International et prend véritablement forme lorsque Tourisme Montréal embarque dedans à pieds joints.

En 2011, à Atlanta, la Free Software Foundation est impressionnée par l’implication de la communauté et l’état d’avancement du projet. C’est gagné! L’année suivante, Diana Clark et David Wolever organisent le premier PyCon Canada, ce qui renforce l’expertise canadienne quant à ce genre d’événement. C’est ainsi que Diana Clarke a accepté d’assumer la présidence de PyCon, cette année, aux côtés de Mathieu…

Cyril Robert (photo: Simon Law, CC BY-SA)Rien ne serait donc arrivé si le groupe Montréal Python n’avait pas tout d’abord incarné, dynamisé et développé le dynamisme et la créativité de la communauté montréalaise. La Python Software Foundation, qui est « une machine bien rôdée », y a eu recours en tant qu’organisme facilitateur, carnet de contacts et réserve de chargés de projets bénévoles.

À l’instar de Savoir-faire Linux, plusieurs entreprises locales, appuient Montréal Python dans ses activités régulières. Logiquement, plusieurs d’entre elles l’ont également suivi en investissant dans un partenariat de commandite avec PyCon 2014…

Sur les 2 500 participants attendus à PyCon 2014, au moins 1 500 arrivent de partout aux États-Unis. Ces déplacements vont générer des retombées économiques immédiates, mais également à plus long terme : rehaussement de l’image touristique, de la renommée technologique et des liens économiques de la ville.

À PyCon, les entreprises montréalaises se positionnent aux côtés des chefs de file de l’industrie numérique nord-américaine. Elles ont l’opportunité de rencontrer un grand nombre de développeurs hautement qualifiés et d’en attirer certains vers les rives du Saint-Laurent. Au final, cette visibilité dynamisera nos entreprises et, selon Mathieu Leduc-Hamel, pourrait les amener à offrir de meilleurs salaires aux membres de la communauté.

La boucle est bouclée! 🙂

Velirium.com remporte un Prix Coup d’Éclat 2013!

Hourra! La semaine dernière, le site VELIRIUM de GESTEV remportait le Prix Coup d’Éclat 2013 dans la catégorie Site Web et stratégie. Comme le soulignait Sylvain Bouchard le mois dernier, nous avons quelque raison d’être fiers de ce succès puisque notre équipe Web de Québec a signé le design et la plate-forme du site.

Remise des Prix Éclat 2013

Hourra! La semaine dernière, le site VELIRIUM de GESTEV remportait le Prix Coup d’Éclat 2013 dans la catégorie Site Web et stratégie. Comme le soulignait Sylvain Bouchard le mois dernier, nous avons quelque raison d’être fiers de ce succès puisque notre équipe Web de Québec a signé le design et la plate-forme du site.

Or, en reprise dans info-culture.biz, voici ce qu’en disait la vidéo projetée pendant la remise du prix, que vous pouvez visionner plus bas:

« La décision de créer un nouveau site Web « responsive design » a été un choix judicieux pour cet événement. Avec cette technologie, le public a pu suivre la programmation, les résultats et les dernières nouvelles en temps réel. Grâce à son esthétisme et son ergonomie remarquable, le site Web de Vélirium offre une expérience de qualité aux internautes. »

http://www.youtube.com/watch?v=Q2ehSLVH6cg

Entrevue-minute avec Mélissa Langlais (GESTEV)

Mélissa Langlais est spécialiste web et médias sociaux chez GESTEV et responsable du projet VÉLIRIUM. C’est principalement avec elle que notre équipe a collaboré lors de la conception et du développement du site. Nous avons recueilli, cette semaine, ses commentaires que voici.

SAVOIR-FAIRE LINUX – Mélissa, as-tu des choses à ajouter sur le choix du jury, à propos de ce qui a retenu son attention et qui vous a permis de vous démarquer des autres finalistes dans cette catégorie ?

Je crois que ce qui a fait toute la différence, c’est que notre site web était responsive, adaptatif. On est rendu là. Ceux qui ne sont pas encore sur ce type de plate-forme et qui travaillent encore avec un site mobile dédoublent le travail. Nous, on a compris avant d’autres l’importance que prennent les appareils mobiles et les tablettes — surtout dans le cadre d’un événement extérieur, puisque la majorité de nos visiteurs naviguent sur le site en temps réel, à partir de leur mobile.

Quels sont les autres aspects qui vous ont permis d’atteindre vos objectifs d’affaires auprès du public, des, médias, des commanditaires et autres partenaires de l’événement?

Logo du Vélirium 2013On ne peut pas ignorer l’ergonomie du site Web. À ce chapitre, on a pris soin de mettre de l’avant l’action de l’événement au maximum — autant les compétitions que les « partys » et les nouveautés — et à y laisser aussi de la place pour nos partenaires. C’est tout un défi! Enfin, le Vélirium est un événement qui revient à chaque année depuis longtemps. Il nous apparaît donc nécessaire de travailler avec des gens comme vous afin de réinventer la présentation de ce contenu récurrent.

Un beau défi pour nous aussi! Justement, pour conclure, as-tu quelque chose à ajouter sur ce qui rend la collaboration entre GESTEV et Savoir-faire Linux | L3i efficace, fructueuse et, j’ose le croire, agréable?

Le premier point que je voudrais souligner, c’est que sans SFL/L3i, on aurait probablement connu l’existence du responsive trop tard… ou pas assez en avance! Certes, on commence à en entendre parler de plus en plus, mais nous, cela fait déjà un an qu’on évalue la technologie et que l’on travaille dans ce sens.

De plus, je crois que nous avons une belle chimie. Nous sommes tous des passionnés, ce qui nous mène à toujours pousser plus loin le produit afin d’offrir une expérience agréable en tous points à nos visiteurs.

Entrevue à code ouvert avec Karen Sandler lors du Montreal Gnome Summit 2013

Le 12 octobre 2013, nous avions le privilège de recevoir le Gnome Summit annuel à Montréal et, en soirée, d’organiser une rencontre avec la communauté dans nos bureaux. C’est ainsi que les principaux développeurs de Gnome et les hackers locaux fraternisèrent autour d’un buffet et de quelques verres. Ils y prirent manifestement pas mal de plaisir puisque l’événement, qui devait se terminer vers 21h, s’est finalement étiré bien au-delà des 23h. 🙂

Au cours de la soirée, Karen Sandler, directrice générale de la Gnome Foundation, a aimablement accepté de répondre à quelques questions sur ce sommet Gnome, mais aussi sur la situation de l’open-source dans le monde. Elle nous explique notamment pourquoi le « Boston » Summit a désormais lieu à Montréal une année sur deux et présente les principaux sujets techniques à l’agenda de ce « hackfest » Gnome, notamment la question de l’accessibilité du poste de travail. Également, elle nous donne son opinion sur l’acceptation de l’Open Source dans le monde et sur le travail qui reste à faire afin que nous puissions réellement vivre dans un monde numérique meilleur.

Le Montréal Gnome Summit 2013 était commandité par la FQCIL (Fédération québécoise des communautés et industries du Libre) et Savoir-faire Linux. Plus de détails dans le billet précédent.

Important discours du ministre Stéphane Bédard sur le logiciel libre chez Savoir-faire Linux à Québec

Jeudi dernier, Savoir-faire Linux inaugurait officiellement ses nouveaux locaux sur la rue de la Couronne, à Québec. Deux semaines après l’adoption unanime par l’Assemblée nationale du Québec d’une motion historique sur le logiciel libre, le président du Conseil du Trésor et ministre de l’Administration gouvernementale, M. Stéphane Bédard, saisissait l’occasion pour préciser publiquement sa pensée sur cette question…

Inauguration Bureau Québec

Benjamin Jébrak dans Direction informatique : Présence ministérielle à l’inauguration des locaux de SFL à Québec

Jeudi dernier, Savoir-faire Linux inaugurait officiellement ses nouveaux locaux sur la rue de la Couronne, à Québec. Deux semaines après l’adoption unanime par l’Assemblée nationale du Québec d’une motion historique sur le logiciel libre, le président du Conseil du Trésor et ministre de l’Administration gouvernementale, M. Stéphane Bédard, saisissait l’occasion pour préciser publiquement sa pensée sur cette question, en présence de ses collègues du Parti Libéral et de la CAQ ainsi que d’une quarantaine d’invités et 20 employés de l’entreprise.

Jean-Nicolas Blanchet dans Le Journal de Québec :
Linux dans Saint-Roch: Le logiciel libre prend du galon

Avant de céder la parole au ministre (voir la vidéo plus bas), Cyrille Béraud, président de Savoir-faire Linux, rappelait son appréciation de la méthode collaborative employée pour faire avancer le dossier au plus haut niveau des instances gouvernementales. Au cours de l’année écoulée, le ministre Bédard a en effet mis en place et pris activement part à une table de concertation entre le gouvernement, la fonction publique et des représentants de l’industrie québécoise du logiciel libre. Puis a suivi la création du Centre d’expertise en logiciel libre (CELL), la mise en place de projets phares et de centres spécialisés en région, puis cette motion — symbolique, certes, mais ô combien importante afin de faire passer le message au sein de la fonction publique et de la population.

Yves Therrien dans Le Soleil : Nouveaux locaux, nouvelle accréditation et nouveau contrat pour Savoir-Faire Linux

Saluant le récent succès international de l’entreprise, le ministre abandonnait ses notes pour livrer un discours spontané dans lequel il rappelait notamment qu’« il faut donner une place plus grande au logiciel libre. (…) Le Québec en tire un avantage collectivement et les finances publiques aussi. (…) Dans le domaine informatique, il y a un problème de concurrence. On a intérêt à maximiser cette concurrence, à s’ouvrir. »

Comme M. Béraud le rappelait à M. Bédard, celle-ci est loin d’être terminée: « Le logiciel libre, c’est un peu un vélo, a-t-il lancé. Si vous arrêtez de pédaler, on va tomber tout de suite! » Ce sur quoi le ministre a tenu à le rassurer ainsi: « Au niveau des contrats publics, (…) nous avons avancé mais notre objectif est d’arriver rapidement là-dessus d’ici la fin du mois de décembre. (…) On va continuer à travailler en collaboration, de façon à être toujours en avant de la parade. »


Visionnez l’intégralité des discours prononcés par MM. Béraud et Bédard sur Youtube.

Rencontrez la communauté de développeurs de GNOME le 12 octobre à Montréal!

Le 13e sommet annuel des développeurs et contributeurs du projet GNOME, fameux environnement de bureau et interface graphique de Linux, aura lieu tout au long de la fin de semaine de l’Action de Grâces, à Montréal.

GnomeLe 13e sommet annuel des développeurs et contributeurs du projet GNOME, fameux environnement de bureau et interface graphique de Linux, aura lieu tout au long de la fin de semaine de l’Action de Grâces à Montréal. Principal commanditaire, Savoir-faire Linux, remercie le CRIM qui accepté d’accueillir cet événement dans ses locaux.

Le Boston Montréal GNOME Summit 2013, c’est un hackfest de trois jours au cours duquel un petit groupe de développeurs et de contributeurs de GNOME travailleront ensemble afin de compléter des tâches spécifiques. Pour les développeurs locaux familiers avec le code de GNOME et désirant s’impliquer sérieusement, c’est une occasion fantastique de rencontrer cette communauté.

Savoir-faire Linux, en collaboration avec la FQCIL, est heureuse d’inviter les représentants des industries et communautés du libre à un cocktail de réseautage en compagnie des participants du sommet, qui sera offert à ses bureaux le samedi 12 octobre, à partir de 18h.