Le 2 mai dernier, Liferay et Savoir-faire Linux présentaient le tout premier Liferay Roadshow à Montréal. Une cinquantaine de personnes étaient présentes au CRIM pour découvrir les nouvelles fonctionnalités du portail Liferay 6.1. Nous avons enregistré la première présentation au cours de laquelle Michael Wong, représentant de Liferay, fait le tour d’horizon des nouvelles fonctionnalités de cette nouvelle version et se livre à une démonstration de l’interface d’administration.
Durée: 1h. Langue: Anglais. Licence: Creative Commons BY
À propos de Liferay
Liferay est définitivement le portail open source le plus utilisé par les grandes entreprises et gouvernements partout dans le monde. Il offre une porte d’entrée unique qui rassemble l’ensemble des ressources et services informationnels d’une organisation et les rend accessibles via un espace de travail personnalisé selon le ou les rôles assignés à chaque utilisateur. Liferay intègre également à sa solution un puissant système de gestion de contenu (CMS).
Identifié comme leader dans le quadrant magique Gartner auprès de Oracle, IBM et Microsoft, le portail Liferay se différencie par sa modernité. Comme l’affirme Gartner, Liferay rompt avec « le ballonnement fonctionnel et la complexité technique » des portails traditionnels et « apporte un accès plus rapide à la valeur ajoutée, et ce, sans violer les normes des logiciels l’entourant. »
La version 6.1 de Liferay amène de belles nouveautés et améliorations notamment au niveau de l’interface de gestion, du processus de préproduction ou de mise en ligne, de la gestion des documents, des listes dynamiques et du potentiel de personnalisation.
À propos de Savoir-faire Linux
Savoir-faire Linux fait partie des cinq lauréats 2011 du prix Liferay Community Excellence Award décerné aux acteurs mondiaux ayant le plus contribué à Liferay. Savoir-faire Linux est un partenaire officiel de Liferay.
Savoir-faire Linux fournit des services de consultation, d’intégration, de développement, de soutien technique et de formation sur les logiciels libres. En affaires depuis 1999, l’entreprise compte maintenant près de 50 consultants disponibles à Montréal, à Québec et à Ottawa.
Une fois de plus, Kim Gjerstad est de passage à Montréal, l’agréable cité laurentienne où il a grandi. Cette fois-ci, j’ai eu le plaisir de capter la conférence qu’il donnait à WordCamp Montréal…
Une fois de plus, Kim Gjerstad est de passage à Montréal, l’agréable cité laurentienne où il a grandi. La dernière fois que je l’ai capté avec ma caméra, c’était pour le neuvième « portrait de blogueur » de Philippe Martin. Kim rentrait à peine du Congo où il avait développé et administré, pour le compte de l’ONU, le premier site Web de Radio Okapi, la radio d’information des « Bleus » à Kinshasa. Cette fois-ci, j’ai eu le plaisir de capter la conférence qu’il donnait à WordCamp Montréal.
Pour la petite histoire, j’ai installé WordPress pour la première fois le 30 juillet 2003, soit quelques semaines à peine avant sa naissance en tant que successeur officiel de b2. C’est dire si je suis un « vieux de le v[i]eille » en matière de technologie de publication légère 😉
J’ai dit légère? Pardonnez-moi, je me suis trompé. Il n’y a rien de « léger » dans WordPress, aujourd’hui, puisqu’il constitue le socle logiciel de très gros projets Web, y compris des sites de grands médias canadiens comme celui de L’Actualité, par exemple. Reste qu’on l’a longtemps taxé de « Personal Publishing Software« , car son framework a été conçu au départ comme un outil de publication ultra-simple de gestion et d’emploi. Il l’est toujours, mais son incroyable communauté d’utilisateurs, son extensibilité et la rigueur de son code PHP lui permettent, aujourd’hui, de servir de base à des déploiements beaucoup plus complexes.
J’ai adoré enregistrer en direct cette conférence, comme toutes celles que j’enregistre en direct. Car j’ai bien entendu utilisé le logiciel de webdiffusion Wirecast pour effectuer le montage en direct de deux sources vidéo, soit celle de ma caméra principale et le flux d’images en provenance de l’ordinateur de Kim, ce qui fait que le film de 32 mn que vous pouvez regarder ici en plein écran était prêt à diffuser immédiatement à la fin de l’événement et que la synchronisation entre les diapositives et la vidéo est absolument parfaite. Le tout sans effort et en un temps record.
En d’autres circonstances, j’utilise deux caméras, ce qui permet de varier les plans, mais aussi d’effectuer un excellent rendu d’un événement plus interactif, comme une table ronde, par exemple. Et, croyez-moi, j’ai encore beaucoup plus qu’un tour dans mon sac, même si je me garde tout de même une petite gêne concurentielle 😉
Voici les archives complètes du Confoo Report, un reportage réalisé, la semaine dernière, à la conférence Confoo sur les technologies Web grâce à une co-production éditoriale et financière avec Mathieu Chartier et Marc-André-Lanciault (voir plus bas), monté et encodé en léger différé sur Ustream.
Voici les archives complètes du Confoo Report, un reportage réalisé, la semaine dernière, à la conférence Confoo sur les technologies Web grâce à une co-production éditoriale et financière avec Mathieu Chartier et Marc-André-Lanciault (voir plus bas), monté et encodé en léger différé sur Ustream. Je reviendrai bientôt sur ce sujet, mais place aux entrevues :
Un portrait de Mathieu Chartier et de son entreprise, Kindo Communication, basée à Montréal et dans les Cantons de l’Est. Mathieu est vice-président du W3Québec depuis 2 ans, spécialiste des standards du W3C, co-organisateur de la conférence, initiateur et co-producteur du Confoo Report.
Marc-André Lanciault était à Confoo pour donner une conférence, participer à une table ronde et co-produire cette série d’entrevues. Ouf! Rien d’anormal pour ce chef d’entreprise prolifique, lead developer du gestionnaire de contenu ImpressCMS, dont les experts sont répartis dans le monde entier.
Marc-André Lanciault meets with Arun Kirupananthan (Microsoft) and Yann Larrivée (PHP Québec) around open source development for Windows IIS Services. Microsoft promotes this trend this season with both the Make Web Not War conference and For The Web coding competition (FTW, not to be confused with WTF;).
Matyas Gabor explique la présence de w.illi.am à la conférence et l’importance croissante que prend le conseil en technologie dans les activités de cette entreprise intégrée.
Un sketch d’humour geek d’Alexandre Bourget et Tarek Ziadé, deux adorateurs du Python. À les entendre, on pourrait croire qu’ils détestent tous les autres animaux de la création informatique, à commencer par le pauvre ÉléPHPhant 😉
Francis Bégin, responsable des communications de Confoo 2010, nous parle du beau défi que représentait la réunion une large variété de communautés technologiques qui ne se parle pas très souvent.
Philippe Gamache, co-organisateur de la conférence Confoo 2010, nous parle de la piste sur la sécurité des applications Web dont il a assuré la programmation et des tendances actuelles dans ce domaine.
Adrian Dafinei, vice-président de l’Association québécoise des informaticiennes et informaticiens indépendants (AQIII), explique la présence de son organisme au Salon de l’emploi de la conférence.
Elie Sloïm a fait le voyage de Bordeaux à Montréal pour parler de contrôle de la qualité Web à Confoo 2010. Ce nouveau paradigme technologique couvre autant les aspects techniques que les aspects humains.
Sherif Zaroubi is an IT Consultant at w.illi.am. Speaking about « Optimization of web applications: a theoretical approach » at Confoo 2010, he met with Marc-André Lanciault to summarize the issue.
Yannick Gingras était l’organisateur principal du groupe Montréal Python à Confoo 2010. Il discute avec Marc-André Lanciault du langage de programmation Python qu’il a découvert… grâce aux délais de livraison hasardeux d’Amazon.com 😉
Mathieu Viau, développeur Web, membre de PHP Québec et co-organisateur de Confoo 2010, nous donne son point de vue sur l’organisation de la conférence.
Rencontre avec Yann Larrivée autour d’une bière virtuelle pour discuter de PHP Québec, l’association professionnelle des utilisateurs de PHP au Québec, de l’évolution de sa communauté et de ses activités, dont la conférence Confoo est un peu l’apothéose.
Conversation informelle avec Nicolas Roberge, intégrateur Web de Québec, qui s’est notamment intéressé à la piste du W3Québec sur les standards du Web. On parle aussi de la communauté de développement de la Capitale nationale et du Webcamp Québec du 19 mai prochain.
Marc-André Lanciault talked on a panel along with two Microsoft executives — Joey Devilla and Arun Kirupananthan — who stated that open source is (quote) « an opportunity » for their company. Microsoft, BTW, was a Gold sponsor at the conference.
Lead programmer of Freeform Solutions’s open source project Formulize, Julian Egelstaff presented a case study in integrating two CMS — namely Drupal and XOOPS — in order to get the best of both worlds.
Marc-André Lanciault rencontre Damien Seguy, leader des services d’expertise Alter Way Consulting, qui donnait à Confoo une présentation sur l’industrialisation des projets de développement PHP.
François Viens, président de l’entreprise QuiboWeb, explique pourquoi il s’est impliqué sur le CA de W3Québec (association de promotion des standards ouverts et bonnes pratiques du Web), comment celle-ci évolue et pourquoi elle était présente à Confoo.
Marc-André Lanciault discute avec Yannick Pavard (InfoGlobe) du gestionnaire de contenus Typo3, très populaire au sein du gouvernement québécois qu’il présentait à Confoo.
Patrice Caron, intégrateur libre (sic) et fondateur de Vision AOS Technologies, qui présentait une double conférence sur l’architecture orientée service (SAO) dans la session Java. Il explique ici sa vision d’une SAO «ouverte», c’est à dire non dépendante de technologies propriétaires.
Marc-André Lanciault, leader of the ImpressCMS project, talks with Marc Laporte (TikiWiki) and Wade Hilmo (Microsoft) about the challenge of integrating open sources CMS on Microsoft IIS Web server instead of their native Apache server stack.
Christian Aubry s’entretient avec Benoit Grégoire était à Confoo pour donner une conférence sur les bases de données, concept omniprésent mais souvent méconnu de la programmation Web.
Si l’on en croit la liste des invités ayant répondu présent sur Facebook, le petit café du centre-ville où se tient les “cooférences” (un néologisme de mon cru) du 3e Mardi va être plein à craquer. La réputation de Tara Hunt y est évidemment pour quelque chose et nombreux seront ceux, au Canada, aux États-Unis et au-delà, qui auront le goût de suivre sa présentation en direct sur le canal Ustream du 3e Mardi.
Si l’on en croit la liste des invités ayant répondu présent sur Facebook, le petit café du centre-ville où se tient les « cooférences » (un néologisme de mon cru) du 3e Mardi va être plein à craquer. La réputation de Tara Hunt y est évidemment pour quelque chose et nombreux seront ceux, au Canada, aux États-Unis et au-delà, qui auront le goût de suivre sa présentation en direct sur le canal Ustream du 3e Mardi.
Cette webdiffusion sera présentée par HKDP (Hill & Knowlton à Montréal), l’un des principaux cabinets-conseils en communications et en relations publiques au Québec qu’a récemment intégré Michelle à titre de Directrice des communications numériques.
Le groupe Android Montréal a été créé sur Facebook cette semaine et ses co-fondateurs se rencontreront le lundi 7 décembre, au Café Républic, juste avant le Mobile Monday Montreal. Celui-ci commençant à 18h30, nous vous invitons à nous retrouver sur place vers 18h.
Ô miracle! Figurez-vous que le groupe Android Montréal a été créé sur Facebook cette semaine et que ses co-fondateurs (John Brohan et moi-même) se rencontreront pour la première fois le lundi 7 décembre, au Café Républic, juste avant le Mobile Monday Montreal, alias Momomo. Celui-ci commençant à 18h30, nous invitons les utilisateurs de téléphones Android, alias « GPhones », ainsi que les développeurs et gestionnaires intéressés par cette plateforme mobile à nous retrouver sur place vers 18h.
Nous espérons que le milieu québécois des technologies mobiles est bien conscient de l’arrivée d’un futur joueur de poids sur le marché, puisque l’Open Handset Alliance est déjà soutenue par 48 entreprises, dont plusieurs géants de l’informatique et des technologies mobiles. Il faut bien comprendre que le succès actuel du iPhone, basé sur la technologie propriétaire de Apple, sera très bientôt relativisé par l’arrivée sur le marché d’offres de plus en plus alléchantes tablant sur la puissance de Google et l’ouverture du système d’opération Android.
Aux États-Unis, déjà, trois des huit meilleures offres mobiles sélectionnées par le Silicon Alley Insider sont propulsées par ce système d’opération. Je gage que, l’an prochain, on en sera au moins à la moitié, et peu importe que le style inimitable et l’excellence du iPhone séduise toujours une certaine élite techno/sociale !
Or, que remarque-t-on, dans la prestigieuse liste des membres de l’Open Handset Alliance ? Sauf erreur de ma part, il n’y figure aucune entreprise canadienne. À croire que, dans nos contrées nordiques, le sigle OHA ne puisse pas signifier autre chose que Ontario Hockey Association ou, à l’extrême limite, Ontario Horticultural Association.
À Montréal, cité aux aspirations technologiques s’il en est, il serait vraiment dommage que nous passions à côté d’un tel phénomène et de telles opportunités d’affaires, notamment en Asie où la pénétration du iPhone reste encore très marginale et risque de le rester longtemps.
Outre cela — et, je l’avoue, très égoïstement 😉 — j’aimerais bien qu’un pool de développeurs s’engage à porter sur Android l’application mobile d’Ile sans fil que Kolt Production a développé pour le iPhone et dont le code source sera ouvert dès la fin du mois. Ce serait un beau cadeau de Noël à faire aux centaines de bénévoles de cette association visionnaire qui facilite la mobilité sans fil dans notre belle et fière cité !
C’est avec beaucoup de plaisir que je renoue, cette semaine, avec mes activités socio-professionnelles favorites. À tout seigneur, tout honneur : Yulbiz ouvrira le bal demain soir sur la terrasse de l’Hôtel Nelligan qui, parait-il, n’est plus ce qu’il était. Espérons que la météo sera plus clémente que les commentateurs de Google Maps!
Le lendemain, je retrouverai mes marques à la SAT, où j’assisterai incognito (?) à une conférence inédite sur les médias citoyens. Je ne peux évidemment pas rater un tel événement, même si ce n’est pas moi qui le webdiffuserai en direct sur Livestream. J’en profiterai pour écouter les conférenciers et réseauter sans contrainte. J’étudierai aussi de l’extérieur cette intéressante plateforme de webdiffusion qui s’appelait Mogulus jusqu’au printemps dernier. Ce changement de nom était destiné à mieux la positionner face à ses principaux rivaux, Ustream et Justin.TV, mais aux dernières nouvelles, le le pari est loin d’être gagné.
De mon côté, c’est le mois prochain que je reprendrai mon calendrier de webdiffusion associative sur Ustream. Le 14 septembre, en effet, ce sera la première soirée-conférence W3Québec de la rentrée. Consacrée au droit d’auteur sur le Web, elle se tiendra pour la première fois à la chic Station C.
Dans les jours qui suivront, j’archiverai les séquences dans un lecteur personnalisé selon le modèle initié le mois dernier au 3e Mardi de juillet, en partenariat avec Indico Communications (voir ci-dessous). Outre son côté pratique, ce type de lecteur donne une meilleure visibilité aux commanditaires qui acceptent de co-produire ces webdiffusions, participant ainsi au dynamisme local et au rayonnement international de la communauté montréalaise des communications, du Web et des nouveaux médias.
Les 11 et 12 juillet, la Société des arts technologiques de Montréal (SAT) vivait à l’heure de WordPress, le logiciel propulsant mon site Web ainsi que des millions d’autres à travers la planète, et au rythme de sa communauté locale, réunie à la première conférence Wordcamp Montréal.
Matt Mullenweg est le fondateur de ce projet open source et son développeur principal. À 25 ans, il fait figure de visionnaire et de meneur d’équipes de la trempe d’un Steve Jobs ou d’un Bill Gates. À ceci prêt que l’approche qu’il préconise n’est pas fondée sur le capitalisme classique, mais sur la philosophie « communautariste » et libertaire associée aux logiciels libres, laquelle rejette la tyrannie des brevets logiciels. Ce qui n’empêche pas notre homme de profiter de la vie comme on le constatera dans la quatrième capsule. ;~}
À l’invitation de Sylvain Carle, grand architecte de cette conférence, Matt a gentiment accepté de discuter avec moi de « techno-philosophie » à l’issue de la première journée. J’ai ensuite découpée l’entrevue en quatre capsules que vous pouvez visionner dans leur continuité ou bien une par une, grâce au lecteur ci-dessus. Pour plus de détails, voici les adresses de chacun des chapitres sur Youtube:
Bien entendu, ces entrevues sont des sources d’information ouvertes que je publie, comme à mon habitude, sous licence Creative Commons By-SA. Je vous invite donc chaleureusement à vous les approprier afin de leur donner une visibilité maximale et d’enrichir l’humanité de vos réflexions.
À condition de citer la source, vous pouvez même télécharger les montages HD originaux dans mon compte blip.tv et en réutiliser les passages qui vous intéressent dans vos propres vidéos. Un p’tit « plugin » avec ça ? 😉
Agacé par l’hypermédiatisation grotesque du décès de ce dernier, je m’étais livré, la semaine dernière, à quelques tweets faciles qui ont peut-être blessé les âmes généreuses et sensibles, ai-je pensé après coup. Puis j’ai eu la révélation du leg ultime laissé par le « Roi de la Pop » à l’humanité : une performance scénographique complète posthume filmée en HD multi-angle / Dolby FX stéréo.
Mea culpa. Grâce à l’impénétrabilité des voies du Show Business, nous assisterons peut-être, cet automne, à la première Résurrection numérique du troisième millénaire. Malgré ses fameuses lunettes noires, je reconnais que le grand petit Michael avait de la vision.
Vous vous souvenez peut-être qu’en mars dernier, je réalisais la webdiffusion de la conférence de presse du Centre de recherche industrielle du Québec (CRIQ), qui célébrait le dixième anniversaire de sa banque d’information en ligne — le portail iCRIQ.com. Cette opération a été un franc succès et les choses n’en sont pas restées là.
Au cours des jours qui ont suivi, j’ai eu l’occasion de discuter de vidéo d’information industrielle avec les gestionnaires du portail. Il y a quelques semaines, nous concluions une entente de production Web vidéo comportant la commercialisation d’une série de forfaits allant de la capsule de base au plan de communication par épisodes. Les tarifs, très avantageux, s’échelonnent de 895 $ à 2 500 $.
J’ai le plaisir de vous présenter aujourd’hui une première capsule réalisée dans ce contexte pour l’entreprise montréalaise de produits d’entreposage Pedlex. La vidéo sera intégrée dans quelques jours à la fiche Pedlex d’iCRIQ.com et sur le site Web de pedlex. Il s’agit d’un publi-reportage d’introduction générale. J’ai dû travailler dans un esprit un peu plus publicitaire que d’habitude, mais je suis néanmoins satisfait du résultat.
Les informations contenues dans cette capsule sont factuelles et justes, en effet. La séquence centrale transmet un message pratique aux industriels, à savoir qu’il est préférable de mettre son fournisseur de systèmes d’entreposage en relation avec son architecte avant même la construction ou la rénovation d’un bâtiment. Cela permet de concevoir le meilleur système et de réaliser ainsi le meilleur investissement possible. Il ne s’agit donc pas ici de simple séduction facile, mais d’information et de partage d’expertise, deux ingrédients essentiels à toute communication Web vidéo efficace.
Vraiment dommage que le webcom live n’ait pas fonctionné, mercredi. Plus de 550 connexions ont été enregistrées sur Ustream, mais malgré des heures d’efforts et d’extraction capilaire, le réseau de l’OACI, contrairement aux éditions précédentes, n’a pas livré les 500 kilobits par seconde, stables et non filtrés, dont nous avions besoin pour en réaliser la webdiffusion. Il a donc fallu se rabattre sur le plan B et ne diffuser que les meilleurs moments, soit une heure et demi d’entrevues captées sur bande vidéo.
< Claude Thibault, responsable du développement des affaires de webcom Montréal >
Reste toutefois cette douzaine de conversations diffusées ce matin en différé et archivées sur Ustream, en attendant d’être nettoyées et republiées en haute qualité. Toutes sont intéressantes, mais j’ai un faible pour les interventions de trois invités étrangers hauts en couleurs, Marc Canter, Gabe McIntyre et Cyrille de Lasteyrie alias Vinvin, dont les propos sont magnifiquement servis par la présence vidéo. Et vous, lesquelles préférez-vous ?
J’ai lancé cet après-midi, dans mon profil Facebook et sur ceux du groupe et de l’événement webcom Montréal, cette série de trois vidéos enregistrées en rafale mercredi dernier. Il s’agit d’entrevues avec Michel Chioini, président et producteur de la conférence webcom, à propos de la sixième édition de cet événement qui aura lieu à Montréal le 13 mai prochain.
J’ai lancé cet après-midi, dans mon profil Facebook et sur ceux du groupe et de l’événement webcom Montréal, cette série de trois vidéos enregistrées en rafale mercredi dernier. Il s’agit d’entrevues avec Michel Chioini, président et producteur de la conférence webcom, à propos de la sixième édition de cet événement qui aura lieu à Montréal le 13 mai prochain.
Je vous invite à les regarder toutes les trois sur Facebook ou, encore, sur mon canal blip.tv :
Alors voilà, c’est en rendez-vous ! Je vous attend nombreux à webcom et en ligne, le 13 mai prochain, pour une nouvelle séance de Conferencing 2.0.
Comme par le passé, ma mission consistera à documenter et commenter de façon collaborative cette grande journée de réseautage et de partage des connaissances. Je me lancerai aussi dans une nouvelle exploration consistant à « co-hoster » les interventions vidéos d’amis de webcom situés en France, au Québec et ailleurs. Si cela vous tente, contactez-moi !
Enfin, je dois aussi vous dire que je recherche actuellement des commanditaires pour m’aider à mieux préparer cette performance aux retombées néo-médiatiques des plus intéressantes. Si vous souhaitez m’apporter votre soutien tout en associant votre image corporative au meilleur du Web québécois, donnez-m’en vite des nouvelles. Merci !
J’ai eu beaucoup de plaisir, mardi soir, à capter la conférence de Michelle Blanc sur l’avenir des médias (qui débute vers 6′ 30″) organisée par Michelle Sullivan et sa dizaine de complices du 3e Mardi | Third Tuesday Montréal ! D’abord, les choses se sont assez bien passées au plan technique et nous avons ainsi permis à une cinquantaine d’internautes québécois, canadiens, européens (et même brésilienne!) d’assister à l’événement en direct. Ensuite, l’intégralité de ces deux heures d’échanges retentissants est maintenant disponible pour tout le monde ― internautes, blogueurs, chercheurs et journalistes confondus ― et librement diffusable sous licence Creative Commons BY-SA.
J’ai eu beaucoup de plaisir, mardi soir, à capter la conférence de Michelle Blanc sur l’avenir des médias (qui débute vers 6′ 30″) organisée par Michelle Sullivan et sa dizaine de complices du 3e Mardi | Third Tuesday Montréal ! D’abord, les choses se sont assez bien passées au plan technique et nous avons ainsi permis à une cinquantaine d’internautes québécois, canadiens, européens (et même brésilienne!) d’assister à l’événement en direct. Ensuite, l’intégralité de ces deux heures d’échanges retentissants est maintenant disponible pour tout le monde ― internautes, blogueurs, chercheurs et journalistes confondus ― et librement diffusable sous licence Creative Commons BY-SA.
Mais le meilleur, de mon point de vue, c’est le fond du discours et la vision de Michelle que je partage EN-TIÈ-REMENT depuis plus de dix ans. Nous sommes maintenant au cœur d’une révolution médiatique dont on perçoit de plus en plus les effets et je m’étonne que si peu de chemin ait été parcouru, pendant cette décennie, par les patrons et artisans de la presse.
Songeons que la pertinence d’ajouter des hyperliens dans les articles, menant à des sources externes plus riches, plus précises ou plus spécialisées, commence à peine à s’imposer dans les médias en ligne… alors qu’elle est à l’origine même du succès et de la fabuleuse richesse du World Wide Web ! Songeons que, l’an dernier encore, le groupe de presse Gesca, pressurant de plus en plus ses journalistes, n’a pas été capable de les associer intelligemment à son nécessaire virage multimédia (1). Et que dire de l’empire Québécor !
Cette grande crise de la presse à laquelle nous allons assister au cours des mois et des années à venir était déjà inscrite, il y a dix ans, dans trois réalités incontournables :
L’émergence de technologies de l’information (informatique) et des communications (réseautique) extrêmement disruptives, ouvrant de vastes horizons et bouleversant à terme les processus et les modèles d’affaires.
Les qualités fondamentales d’Internet: capacités de stockage et de traitement infinies, asynchronisme et ubiquité.
La nature intrinsèque de notre soif d’information, qui est elle-même immatérielle et cognitive. Comme l’illustre si bien Michelle, ce besoin n’a rien à voir avec tel ou tel médium, qu’il s’agisse du papier, des ondes de radiotélévision ou des circuits de données des réseaux Internet.
La nécessité d’entretenir des équipes de journalistes compétents ayant pour mission de fouiller, vérifier, ordonner et présenter au public une vision cohérente et fiable des activités du monde a été, est et sera toujours d’actualité. Il importe cependant que ceux-ci accélèrent le pas avant que leur économie s’effondre; qu’ils s’ouvrent à une utilisation plus hardie des nouvelles technologies et des nouvelles plateformes numériques; qu’ils apprennent à utiliser les flux d’information en ligne provenant des citoyens et des entreprises comme leurs équivalents analogiques, sans se départir de leur rigueur déontologique, mais sans non plus les disqualifier sous des prétextes fallacieux.
J’espère que la personnalité extraordinaire de Michelle Blanc, la charge iconoclaste de son discours et l’acuité de sa vision contribueront à réveiller nos dinosaures médiatiques en voie de disparition.
Très honnêtement, j’espère bien participer d’une façon ou d’une autre à l’avènement de ce nouvel écosystème de l’information pour lequel je me prépare et que je défriche, médium après multimédium :} depuis plus de 12 ans.